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Le Chantier
Chapitre 1
Un samedi de juin, Sofia D* devint une femme respectable en épousant Sébastien T*, responsable marketing de la société Styx-Europa. Ils formaient un beau couple. Sophie avait 35 ans, Sébastien 38. Son travail le menait souvent à l’étranger où il pouvait rester parfois une semaine entière, surtout en Asie où les signatures de contrats nécessitaient beaucoup de patience.
Aussi, quand ils décidèrent de transformer un corps de ferme quasiment en ruines en maison de campagne, ce fut à Sofia que revint la mission de mener à bien le chantier de la rénovation. La maison – enfin ce qui devait devenir la maison - était construite sur les bords de l’Atlantique, dans un petit village côtier du Sud-Bretagne. Pour se rendre sur place, il fallait soit emprunter le train puis un taxi, soit y aller directement par la route, mais dans les deux cas, c’était une expédition.
Sofia y allait une fois par mois. Elle y restait deux jours, le temps de rencontrer les équipes d’artisans, de veiller aux malfaçons et d’arrêter le planning des travaux pour les semaines à venir.
Mais avant tout, il avait été nécessaire de s’adresser à un architecte pour les démarches administratives, choisir le nouvel agencement intérieur et estimer le coût total des travaux…
Le cabinet d’architecte.
La première fois que Sofia se rendit seule au rendez-vous fixé par l’architecte, ce fut en décembre par un triste après-midi de pluie. Sébastien était à Londres pour deux jours. Ce jour-là, M. Burgaud devait lui remettre l’autorisation officielle de rénovation ainsi qu’un premier devis. Sofia avait déjà rencontré M. Burgaud à de multiples reprises : c’était un homme affable, d’une cinquantaine d’années, un peu grisonnant. Elle avait remarqué qu’il avait de belles mains et une voix très persuasive.
Pour l’occasion, Sofia avait mis une jupe et des bottes en daim couleur fauve, un pull violet en cachemire. Dès son arrivée, M. Burgaud la débarrassa de son manteau, et, geste furtif qui n’échappa pas à Sofia, il tira le verrou de la porte de son bureau. Pour lui expliquer les devis en détail, il invita Sofia à s’asseoir à ses côtés devant le bureau où étaient éparpillés les documents. Ils se touchaient presque. De sa voix douce et envoûtante, il lui annonçait des chiffres ; de ses doigts soignés, il lui montrait des colonnes, des totaux. Sofia se laissait bercer. Et il n’y avait pas que le charme de la voix et de la main : il flottait autour de l’architecte comme un parfum de tabac blond qui la mettait en émoi et achevait de l’enivrer.
Aussi, lorsque la main de l’architecte quitta les devis et se posa sur sa cuisse, Sofia se laissa faire. C’était la première fois depuis sa rencontre avec Sébastien, trois ans auparavant, qu’un homme posait la main sur elle. Elle pensa à son mari, non par culpabilité, mais pour reconnaître combien la main de l’architecte était plus habile et plus excitante. Au fur et à mesure que les doigts progressaient sous sa jupe, elle sentait ses mamelons devenir durs comme du marbre, sa bouche s’assécher, son con mouiller. Alors que la main gauche de M. Burgaud atteignait son sexe, la droite se glissait sous son pull et lui caressait les seins. Sofia écarta les cuisses et s’abandonna au plaisir. Elle se laissa renverser sur le bureau, dans un lit de paperasses. Elle entrevit M. Burgaud qui sortait sa queue raide de sa braguette et, l’instant d’après, elle l’avait dans le vagin, grosse, chaude et vivante…
Sofia s’étonna à peine d’y prendre du plaisir. Cela dura un petit quart d’heure, le temps pour elle de se permettre deux orgasmes discrets. L’architecte se retira pour jouir et lui envoyer trois giclées de sperme sur le ventre, ce qui lui remplit la fontaine du nombril. Elle en fut un peu contrariée mais n’en laissa rien paraître.
Finalement, ce qui surprit Sofia, ce fut que M. Burgaud se sentit obligé de la remercier en lui accordant une ristourne plus que conséquente sur ses honoraires. Sofia pensa qu’on la payait comme une putain, et loin de la fâcher, cette pensée lui trotta dans la tête jusqu’au retour de Sébastien.
à suivre…
© Michel Koppera, septembre 2010
Livrée visuellement, physiquement, mais surtout dénudée cérébralement, mise à nue au plus profond de moi même.
L'on ne peut qu 'espérer voir les prochains textes agrémentés de photos de Sophie qui va certainement beaucoup évoluer vers son bien être sous votre influence
a très bientôt j 'espère