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Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
COUP DE GUEULE
Les dysfonctionnements et bugs récurrents de Erog ont considérablement perturbé ma gestion du blog. Les statistiques de fréquentation ne sont plus régulièrement mises à jour, les images difficilement mises en ligne quand elles ne sont pas directement effacées... Tout cela pour vous dire que ces problèmes commencent à me "gaver" et qu'après presque 8 années de travail et d'investissement sur ce blog, je fatigue... J'ai plus que jamais besoin de votre soutien, de vos encouragements. Faites quelque chose, manifestez-vous auprès de l'administration d'Erog pour qu'ils assurent un minimum de leurs obligations et ne se contentent pas d'empocher cyniquement les dividendes de tous les auteurs de blogs totalement désintéressés!
Ceci étant dit, voici les statistiques de fréquentation des mois de février et mars 2015
Nombre de pages vues en février : 106 793
Nombre de pages vues en mars : 118 814
Nombre totale de pages vues depuis la création du blog : 4 572 438
Comme les mois précédents, ce sont les articles consacrés au candaulisme qui recueillent vos suffrages. Je vous propose donc une photo de situation candauliste que ne devrait pas manquer d'alimenter vos fantasmes (Imaginez les sensations et pensées de la femme qui sent battre contre sa chatte la bite de son amant d'un jour, surtout si c'est son mari qui d'un geste affectueux sur la fesse, l'encourage à se donner à leur visiteur!)
Vous n'avez sans doute pas manqué de remarquer qu'à l'approche du printemps les oiseaux se sont remis à chanter dans les arbres et les buissons. On a coutume de dire que c'est le retour de la "saison des amours". Et si nous pouvions comprendre et traduire en mots leur charmant ramage ?
Strip-Tyque (une genèse)
Le théâtre érotique est une grande tradition de la littérature érotique.
Il remonte aux Grecs et à la comédie antique (en particulier Aristophane avec notamment Lysistrata) mais on peut trouver dans Le Banquet de Xénophon (la scène IX) qui le clôt et qui présente un jeune homme et une jeune femme (Dionysos et Ariane) qui se caressent de façon de plus en plus réaliste et font fuir tous les convives pressés de rentrer chez eux auprès de leurs femmes (?) « pour en jouir », en démentant par leurs sens tous leurs discours philosophiques conformes à celui de Socrate qui refuse tout contact corporel et reste seul ou presque, plutôt que de rejoindre sa compagne Xantippe certes de trente ans plus jeune mais célèbre pour sa laideur et son caractère acariâtre.
De toute façon, formes théâtrales strictes ou romans emplis de dialogues, l’érotisme admis ou poursuivi a toujours irrigué des œuvres qui la plupart du temps s’accordaient avec une pensée réfractaire, irrévérencieuse, libre et joyeuse.
Ce sont farces du Moyen-âge comme Le débat du con et du cu, puis les œuvres de la Pléiade, puis du XVIIème (le premier roman érotique que j’ai découvert à l’adolescence fut Le moyen de parvenir en belle édition reliée qui se trouvait dans la bibliothèque familiale) jusqu’au XVIIème siècle, les textes depuis les libertins jusqu’aux « débauchés », à ceux qui hélas ne sont plus joués de nos jours. Ils nous réjouissent par leur audace, leur verdeur et leur bonne santé.
On sait qu’au XIXème, Maupassant et son à la feuille de rose, maison turque ou Henri Monnier pour le Théâtre de la rue de la santé, ou l’œuvre « inavouable » de Pierre Louÿs (mais sa pièce Connette et Chloris écrite en alexandrins n’a pas été jouée) ont pour le plaisir de tous et toutes troussé des dialogues savoureux, voire obscènes.
On trouve de nos jours de beaux romans érotiques (comme ceux de José Pierre ou d’André Hardellet) dont certains sont parfois portés sur scène (par exemple l’adaptation du château de Cène de Bernard Noël), mais le théâtre actuel verse généralement dans la pornographie sans esprit dont seules les didascalies intéressent les spectateurs, ponctuées de temps à autre par des mots obscènes (sans métaphores inédites) disséminés dans une succession de halètements et de cris de jouissance feinte. Le théâtre graveleux en revanche a envahi les boulevards avec ses sous-entendus souvent appuyés, ses cocottes, ses adultères.
Bref, à notre connaissance, le genre a disparu (mais il est possible que je me trompe). J’ai voulu le réhabiliter, ce qui est une justification après-coup –si on me passe l’expression- car cette pièce m’est venue comme ça, qui part de ce qui paraît l’aliénation la plus évidente d’une femme objet des saillies des mâles jusqu’à son apothéose comme supérieurs à eux. L’homme, pour sa part, au contraire du macho coutumier s’émerveille devant les jouissances féminines qu’il envie au fond mais qu’il atteint avec elle en empathie.
Avec Strip-tyque (Une genèse) c’est en effet l’amour physique le plus cru auquel je me consacre (et que je consacre) : une femme décrit par le menu ce qu’une quinzaine d’hommes vont faire à son corps mais c’est elle qui au bout du compte les domine en gloire et se révèle comme prêtresse de Dionysos ; un homme après un hymne qu’il voue au clitoris avoue sa dépendance à l’état de son sexe. Les deux qui étaient rivés à leurs corps morcelés en bouts de jouissance pour eux-mêmes ou pour d’autres, d’objets partiels qu’ils étaient, elle pour les mâles en rut, lui du fait des caprices de sa pine, vont se retrouver dans une rencontre égalitaire, de sujet à sujet, dans une globalité triomphante de volupté partagée. Ils partent tous deux avec des corps réduits à quelques cm2, corps aliénés par les hommes qui transforment la femme en objet ou par la verge dont l’homme dépend. Mais c’est pleinement qu’ils vont se rencontrer.
La pièce (habillée) est défendue par deux acteurs et un joueur de bandonéon : l’atmosphère sera à la Pena cabaret de tango Le 1er acte a été créé par Anne de Broca à l’occasion de l’anniversaire de l’abolition de l’esclavage, il y a quelques années.
Cette pièce a été conçue comme un hymne aux femmes : Strip-tyque qui commence par les apparences de l’esclavage se révèle une initiation à la liberté, ou plutôt aux libertés. J’ai essayé d’être fidèle à la définition du scabreux par Breton : « ce qui côtoie tout au long le précipice, l’évitant de justesse pour en entretenir le vertige »
Denys Treffet
Elle sera créée à L’Essaïon tous les lundis et mardis à 21H30 du 09 mars au 21 avril 2015 pour 14 représentations.
Mise en scène Anne de Broca (assistée de Muriel Piquart) avec elle-même et Erwan Daouphars, musique de Pablo Nemirovsky au Bandonéon, scénographie et lumière Yves Collet
Théâtre Essaïon 6, rue Pierre-au-Lard 75004 Paris (angle 24, rue du Renard)
La place 20€ réservations 01 42 78 46 42 www.essaion-theatre.com
Pour tout contact avec l’auteur : denys.treffet@gmail.com
Extraits de Strip-tyque
L’homme :
(…)
Le secret, il est là, le secret de la femme,
il est palpable, il se cache, son secret
dans ce repli minuscule au fond de ses replis,
cette boursouflure qui se dissimule,
petit germe,
dont on croit d’abord qu’il est timide,
qu’il est discret,
ce mignon,
qu’il désire rester inaperçu.
Mais il suffit que l’effleure un troisième doigt,
celui du milieu, celui qu’on nomme le médius,
d’autres l’appellent le majeur, quelle erreur :
tout ce qu’il accomplit est sur le mode mineur, intime,
(…)
Quelle différence avec mon gland grossier.
On a dit que tu en étais la réduction envieuse.
En fait, c’est lui, mon gland,
qui est ton agrandissement vulgaire.
(…)
la femme :
(…)
A cet instant même
rien que par la grâce
de votre regard
sur moi
le premier miracle s'accomplit
vous sentez
là tout en bas de votre ventre,
cette chose qui se déroule
qui se gonfle
qui s'étend,
qui grossit,
qui raidit,
qui vous brûle,
qui s'érige,
qui se dresse vers moi.
Toutes ces pines
qui me désignent,
qui con-
vergent.
Elles regardent non pas les femmes
mais la Femme
par la fente de leurs glands
tendus vers tous mes trous.
Des trous, j'en ai six,
vous pouvez les compter :
(…)
on me fouille,
on me ligote,
on cravache mes fesses,
on plonge une main
gantée et lubrifiée
dans ma chatte distendue,
on m'enfonce des aiguilles
dans ma chair,
on me fait couvrir par un chien,
on m'injurie
mais
personne,
personne
ne pourra jamais
m'humilier.
(…)
L’homme et la femme réunis :
(…)
Lui : son nom, oui, c’est d’abord «oui»,
c’est son nom le plus connu
mais il en a un autre,
plus secret,
d’autant plus secret qu’il est évident
Elle : son nom ?
Lui : son nom, pour tous, depuis toujours,
dans toutes les langues (elle tire la langue), dans toutes les cultures
Elle : son nom ?
Lui : son nom, c’est la formule
qui l’appelle
qui le convoque
c’est
Elle : c’est ?
Lui : mm
Elle : comment ?
Lui : mmm
Elle : répète
Lui : mmm,
aucun mot, rien qu’un son,
le son, pour chacun, de sa voix interne,
intime,
en résonance.
Elle : mmm
Lui : la caresse que je te fais
effleure ma jouissance
Elle : mmm dans le désir
mmm vers toi
vers moi aussi,
mmm vers mon origine
vers le battement premier
(…)
Denys Treffet denys.treffet@gmail.com
mmmm
Nombre total de pages vues depuis la création du blog :
4 346 831
Nombre de pages vues en janvier 2015 : 119 481
Le top 5 des albums en janvier
1. Album insolite : 1980 visites
2. Vulves bovines : 1311 visites
3. Dessins X : 1305 visites
4. Beautés : 1119 visites
5. Selfies : 1064 visites
Vos 5 articles préférés :
2. Michel Bernard, "Les vies de Lilli", extrait n° 2
5. "La chambre obscure", Chapitre 13, 2ème partie (texte inédit)
Comme pouvez le constater, les articles consacrés au candaulisme ont encore une fois vos faveurs
Une seule illustration pour accompagner ces stats, mais quelle image !!! Il y a sur le visage du mari voyeur, toute la détresse et toute la fascination que lui offre sa femme en manque de queue.
Suite à l'attentat dans les locaux de Charlie Hebdo, vous avez dû être nombreux à vous étonner de voir Jeannette Bougrab en larmes venir témoigner sur les plateaux télé de son désespoir d'avoir perdu son compagnon Stéphane Charbonnier, dit Charb, le directeur de Charlie Hebdo.
Jusqu'à ce jour funeste, comme la plupart d'entre vous, j'ignorais tout de leur liaison. Cependant, au-delà du malheur, l'idée que ces deux-là s'aimaient m'a réjoui : une ex-secrétaire d'Etat d'un gouvernement sarkoziste en couple avec un dessinateur communiste athée, cela avait de la gueule ! Quoi de plus réjouissant que ce pied-de-nez au conformisme, à la pensée unique et au politiquement correct !
Et puis, plus rien. Jeannette Bougrab disparaît des écrans. Elle est absente à la grande marche républicaine du 11 janvier, tout comme aux obsèques de Charb. Et voilà que j'apprends que, contre toute évidence, la famille de Charb dément cette "prétendue" liaison et refuse à Jeannette Bougrab le droit de s'exprimer sur le sujet et d'assister aux cérémonies. Afin de ne pas alimenter la polémique, cette dernière s'est éclipsée, non sans avoir auparavant laissé Paris Match publier une photo sans ambiguïté prise le 31 décembre dernier, au cours du réveillon. Cette simple image en dit plus qu'un long plaidoyer sur la sincérité de leur amour. J'ai appris aussi que Jeannette Bougrab, en état de choc et profondément meurtrie, avait été hospitalisée pendant quelques jours.
Tout cela pour dire mon immense déception et ma froide colère devant le sectarisme et l'étroitesse d'esprit de la famille. Depuis, je ne cesse de compatir à la souffrance de Jeannette Bougrab et j'ai beaucoup moins de sympathie à l'égard de ceux qui, au nom de l'idéologie n'ont cherché qu'à l'humilier.
Hier, dans la nouvelle "Le soutien-gorge rouge", vous avez fait la connaissance de Lida. La voici en photo...
Anne- Marie fait du naturisme...
Le soleil d'été s'attarde sur sa peau nue. Elle sent sur son dos, sur ses fesses la chaleur de sa caresse. Les regards des hommes s'attardent sur sa peau nue. Elle sent sur son dos, sur ses fesses la chaleur de ces regards qui la caressent. Elle sait que leurs yeux ne peuvent ignorer la ligne sombre des poils qui dépassent... Ça l'excite de penser à ces regards posés sur la raie de ses fesses. Son amant est là, juste derrière qui prend des photos. Il n'a qu'un mot à dire pour qu'elle écarte davantage les cuisses, se cambre un peu pour leur montrer à tous sa fente chaude de soleil et déjà mouillée du désir de queue...
Hier, un lecteur du blog m'a envoyé cette photo accompagnée de la légende suivante :
" Anne-Marie, baisée et sodomisée dans un hôtel à Marseille"
Je me suis permis d'y ajouter ces quelques lignes
"On fait la queue aux guichets de sa croupe,
Toutes opérations en libre service :
Pénétrations en tous genres,
Gémissements de plaisir,
Orgasmes en urgence.
Insérez vos pièces dans la fente.
Désirez-vous un reçu ?
Merci de votre visite
Avec le sourire de la vendeuse."
Juillet 2025 | ||||||||||
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