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Suite à l'attentat dans les locaux de Charlie Hebdo, vous avez dû être nombreux à vous étonner de voir Jeannette Bougrab en larmes venir témoigner sur les plateaux télé de son désespoir d'avoir perdu son compagnon Stéphane Charbonnier, dit Charb, le directeur de Charlie Hebdo.
Jusqu'à ce jour funeste, comme la plupart d'entre vous, j'ignorais tout de leur liaison. Cependant, au-delà du malheur, l'idée que ces deux-là s'aimaient m'a réjoui : une ex-secrétaire d'Etat d'un gouvernement sarkoziste en couple avec un dessinateur communiste athée, cela avait de la gueule ! Quoi de plus réjouissant que ce pied-de-nez au conformisme, à la pensée unique et au politiquement correct !
Et puis, plus rien. Jeannette Bougrab disparaît des écrans. Elle est absente à la grande marche républicaine du 11 janvier, tout comme aux obsèques de Charb. Et voilà que j'apprends que, contre toute évidence, la famille de Charb dément cette "prétendue" liaison et refuse à Jeannette Bougrab le droit de s'exprimer sur le sujet et d'assister aux cérémonies. Afin de ne pas alimenter la polémique, cette dernière s'est éclipsée, non sans avoir auparavant laissé Paris Match publier une photo sans ambiguïté prise le 31 décembre dernier, au cours du réveillon. Cette simple image en dit plus qu'un long plaidoyer sur la sincérité de leur amour. J'ai appris aussi que Jeannette Bougrab, en état de choc et profondément meurtrie, avait été hospitalisée pendant quelques jours.
Tout cela pour dire mon immense déception et ma froide colère devant le sectarisme et l'étroitesse d'esprit de la famille. Depuis, je ne cesse de compatir à la souffrance de Jeannette Bougrab et j'ai beaucoup moins de sympathie à l'égard de ceux qui, au nom de l'idéologie n'ont cherché qu'à l'humilier.
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