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Eric MOUZAT, Carnet sexuel d’une femme de chambre
Editions de La Musardine, 2013, collection Lectures amoureuses
Pages 48-49. La narratrice reçoit les confidences d’une des ses employeuses qui lui raconte comment, avec son mari, elle avait dragué une fille de 18-19 ans pour participer à une soirée un peu spéciale dans un club échangiste.
« On est allé avec la fille dans une chambre. Comme on n’a pas fermé la porte à clé, plusieurs mecs sont venus. On a expliqué qu’ils pouvaient regarder, mais pas participer. Jean-Jacques (le mari de l’employeuse) est hétéro +++, il ne supporterait pas qu’un homme le touche même sans faire exprès. Alors, tu imagines quand on baise… Il y avait de la place pour trois ou quatre voyeurs autour du matelas. Les hommes se masturbaient en nous regardant faire l’amour. Assez cocasse. Jean-Jacques prenait son pied : deux bouches pour une fellation, c’est très agréable, d’autant que la fille avait une gorge d’une profondeur inouïe. Moi, je ne suis jamais arrivée à avaler plus de la moitié de sa verge. Ça butte toujours au fond et j’ai des nausées. Elle, elle allait quasiment jusqu’au bout, alors je me contentais de sucer les testicules de Jean-Jacques et de le doigter comme il aime. Ça, la fille elle ne pouvait pas le savoir. Plusieurs mecs se sont relayés autour de nous. Vers la fin, après que la fille ait eu fait jouir Jean-Jacques dans sa bouche et pendant qu’elle me suçait le clitoris en enfonçant ses doigts dans ma chatte, un noir est arrivé. Quand j’ai vu son engin, j’ai cru à une farce. Je ne te mens pas. Une demi-baguette de pain ! Et pas une petite baguette famélique de supermarché ! Une bonne baguette de boulanger.
La fille essayait de faire rentrer sa main dans mon vagin. Je n’avais plus les idées très claires. J’ai fait signe au noir d’approcher. Jean-Jacques a changé de côté. Il est allé se mettre derrière la fille et lui a léché la chatte. Je n’ai pas pu résister à prendre cette queue dans mes mains. Tu n’imagines pas ce que j’ai ressenti. Je me suis demandé ce qui me ferait le plus d’effet : la main de la jeune fille ou cette verge gigantesque. J’ai sucé son gland quelques minutes. La fille avait réussi à rentrer sa main complète et elle la faisait tourner doucement. J’ai joui. Puis j’ai retiré sa main de ma chatte et je me suis mis à quatre pattes, les fesses à hauteur de la verge du noir. Il m’a prise par les épaules et s’est enfoncé d’un coup, sans préparation, jusqu’au fond. Ça doit être sacrément élastique là-dedans ! J’ai senti ses testicules battre contre mon pubis. Il était au fond. Bien au fond. J’avais l’impression qu’il était presque au milieu de mon ventre. Tu ne peux pas savoir ce que ça fait. J’ai réessayé après avec des grosses courgettes, et je n’ai jamais retrouvé cette sensation d’être remplie, envahie, écartelée, mais aussi d’absorber, d’englober, de posséder cette chair. »
Ce que j'en pense : rien de bien nouveau sous le soleil noir de la littérature érotique. Une série de récits croisés sur le thème de la jeune fille délurée au service de patrons et patronnes plus ou moins déjantés ou pervers. C'est plaisant, mais on a l'impression d'avoir déjà lu tout ça...