Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Ouvrage classique de littérature érotique construit sur le principe de la confession sur l'oreiller, les chapitres se succèdent, prétextes à récits d'aventures sexuelles en tous genres... Voici la première page.
La première illustration est une oeuvre de Paul Wunderlich
Eric MOUZAT, Confessions d’une femme impudique
Le Cercle, 2007
T’aimes ça, hein mon salopard, que je te raconte ces cochonneries. T’aimes que je te fasse bander avec mes vieilles histoires de garce. Ça te plaît d’entendre ces saloperies sortir de ma bouche. Tu t’imagines ces types qui m’ont prise, ou ces chiennes qui m’ont fait mouiller, avec qui j’ai joui comme une bête en chaleur. Tu les vois, leurs mains sur mon ventre, leur bouche léchant mes seins, leurs doigts s’enfonçant en moi et m’arrachant des cris de damnée. Je te les ai racontées mille fois, mais tu les aimes encore. Elles sont usées, râpées jusqu’à la corde, mais elles te font toujours le même effet. Je ne sais pas vraiment ce qu’il y a dans ta tête de porc déclaveté pour trouver du plaisir à tout ça, mais si c’est ton trip, après tout… pourquoi pas ? ( …)
Une Shéhérazade du cul. Voilà ce que je suis pour toi. Raconter, raconter, raconter, déchirer tes oreilles des pires ordures, te labourer le cœur et les entrailles avec mes insanités, profaner de mes histoires sales ton petit univers bien propre où il s’est rien passé, ou pas grand-chose. Te gaver d’images pour te faire regretter de ne pas avoir été là, au moins à regarder.
J’ai commencé jeune, et j’ai joué les prolongations dès le début. Je suis même capable de reprendre du service,
rien que pour toi, tu le sais bien. N’importe quoi, pourvu que tu bandes comme une baleine parce que j’aime voir ta grosse queue bien large et bien juteuse. Parce que je suis une femme à bite,
une femme à sucer des chattes, parce que c’est ça qui me fait vivre.
Aucun commentaire pour cet article
Derniers Commentaires