Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Fin du chapitre écrit par Caty
Les deux femmes sont enlacées. Le baiser perdure, les deux corps ondulent. Caty a placé sa jambe entre celles de Mnoa, et simultanément elles plongent toutes les deux dans un délicieux plaisir commun, simultané, étonnant, étrangement long et vigoureux…
Mona et Caty sont maintenant couchées toute nues sur le dos… Un simple drap recouvre leur corps jusqu’au cou. Elles se tiennent par la main.
- À quoi penses-tu Caty ?
- Et toi Mona qu’elles sont tes pensées ?
- En passant cette porte notre histoire sera finie !
- Crois-tu que je pense à autre chose ?
- Je sais que tu penses la même chose !
- Pas de regrets ?
- Non, un beau souvenir qui sera éternellement gravé dans mon cœur et dans mon corps…
- Plus jamais je ne ferai l’amour sans penser à toi.
Qui parlait ! Qui répondait ! Nul ne sait ! Ces deux femmes s’étaient aimées, ces deux corps s’étaient unis, maintenant les deux cœurs battaient au diapason l’un de l’autre, les deux esprits voguaient sur les mêmes pensées.
- Tu t’habilles ?
- Commence ! Toi !
- On a encore quelques instants à vivre !
- Personne ne nous cherche.
- Quelle heure peut-il être ?
- Je ne sais pas ! Je m’en fous !
- Non ! Il vaut mieux dire je m’en moque !
De longues minutes s’écoulent dans ce moment étrangement doux et savoureux. Les deux femmes savent maintenant que c’est fini.
C’est alors que Mona se retourne vers Caty et lui avoue !
- Tu m’avais parlé d’un gode dans ton sac !
- Je l’avais oublié !
Caty se lève et récupère dans son sac un très beau gode noir bien cambré et un dong doré… Mona sourit et dit.
- J’ai les mêmes à la maison… mais je ne les utilise pas… tu me les mets tous les deux
- Bien sûr ma belle un gode ne va jamais sans un dong ! Couche-toi et écarte les jambes… pas sur le dos, sur le ventre.
Caty caresse les fesses de Mona, écarte les deux beaux hémisphères de chair, caresse le sillon découvre et admire le joli petit trou rectal…
- Ouvre-toi, toi-même avec tes deux mains… Oui comme cela c’est parfait… je mouille le dong avec ma salive et je te l’enfile en tournant de gauche et de droite… Tu le sens bien
- Oui je le sens.
- Tu n’as pas mal ?
- Pas du tout… Tu es très douce.
- Voilà ! Il est emmanché maintenant jusqu’à la garde…
- Tu me mets le gode dans mon vagin.
- Mais c’est toi qui vas le mouiller… Tiens ! Suce-le…
- C’est ton doigt que je sens dans mon sexe ?
- Oui c’est mon doigt… mais ton sexe est trempé… Ce n’était pas la peine de mouiller le gode.
-Vas-y Caty… je suis prête !
- Voilà ma belle… il rentre facilement… tu le prends en entier… J’aurais dû en prendre un plus long et plus gros !
- Oh non ! celui-là me plait bien !... fais-le vibrer…
- Voilà ma belle… Tu le sens bien !
Mona a déjà glissé sa main sous son ventre et saisi son clitoris entre pouce et index… Caty caresse tendrement son amante… les fesses, le dos, le cou, les épaules, les cheveux… Elle se couche à l‘envers sur Mona, ses deux jambes encadrant le tête de la récipiendaire… Elle ouvre à nouveau les fesses et glisse sa langue dans le sillon jusqu’à l’anus… d’une main elle appuie alternativement sur le gode et sur le dong… Mona est au bord de l’extase… Elle soupire tendrement puis se met à crier très fort… Caty ressent sous elle la violence des spasmes qui emportent Mona… Ce n’est que longtemps après qu’elle s’approche du visage de Mona pour lui dire :
- Tu es belle quand tu jouis.
- Merci Caty tu m’as emmené très loin… mais toi tu es restée en rade ! Que puis-je t’offrir à mon tour.
- Rien Mona, ce fut pour moi un plaisir de te sentir jouir sous moi.
- Mais tu n’as pas eu d’orgasme !
-Ton orgasme a été le mien ! En doutes-tu ?
- Non ! je n’en doute pas… Mais ! Laisse-moi respirer un peu ! Tu es lourde…
Caty bascule sur le côté, se couche sur le dos ! Mona monte sur elle et s’allonge tête bêche…
- Mmmm ! Tu sens le fauve !
- Toi aussi Mona ! mais que fais-tu ?
- Je te baise avec ton gode !
- Pas baise c’est vulgaire ! Fais-moi l’amour.
- Bien répondu ! Tu sens comme ton gode est mouillé avec mon jus… Tu sens comme ton vagin est trempé avec ton jus… Je l’enfonce et nos jus vont se mélanger pour ton plaisir… je mets la vibration…
- Tu es folle Mona !
- Non ! Je rends hommage à mon soleil !
- Je vais joui Mona… Je passe ma main entre nous… je touche mon clitoris et… je jouiiiiiis ! pour toi ! Par toi ! Grâce à toi !
- Je sens ta main bouger ! Je te sens jouir ! Ton orgasme me brûle comme un rayon de soleil.
- Tu as gardé le dong ? Je le sens !
- Tu veux que je te le mette ?
- Non !
- Alors ! Je sais ce que je vais faire ! Veux-tu connaître mon troisième fantasme ?
- Bien sûr ! Raconte-moi !
- Un nombre ! Un seul nombre ! Tu devines lequel ?
- Oui ! tu voudrais un 69 !
- Bingo ! Tu accepterais de me l’offrir !
- Il suffit de s’accorder sur la position ! Toi au-dessus, moi en dessous
- Et pourquoi pas l’inverse ?
- Choisis !
-Non, toi tu choisis !
Mona écarte les cuisses de Caty… Caty en fait de même… Mona enlève le gode du sexe de Caty. Caty décroche le dong des fesses de Mona. Et toutes les deux plongent entre les jambes l’une et de l’autre… le soleil luit alors dans la chambre… Un rayon lumineux s’est glissé entre les rideaux et vient éclairer les deux femmes qui communient. Le jour s’est levé… Plus un mot n’est prononcé. On n’entend plus que des soupirs, des bruits de bouche, des frôlements de mains… Caty pense qu’il eût fallu une musique pour accompagner ce double cunni ! le Kindertotenlieder de Gustav Mahler ! Elle l’écoutera lorsqu’elle arrivera à la maison et offrira une de ses versions à Monika ! La plus belle ! Celle de Kathleen Ferrier. Lorsqu’elle sera triste, cette musique lui permettra de tomber jusqu’au fond, puis de frapper des pieds et de remonter à la surface.
Mais pour le moment, elle écoute à la fois son corps et celui de Mona… Comment arriver en même temps au plaisir ! Et pourquoi ne pas attendre que l’une jouisse pour jouir à son tour… Soudain la folie se déclenche dans les deux corps qui vibrent puis sombrent dans une profonde extase post-orgasmique.
Ni Caty, ni Mona ne diront plus un mot. Ni l’une ni l’autre de regardera l’une ou l’autre. Pas un geste pour se toucher. Laquelle aura franchi la porte la première ? Je ne saurais vous dire ! L’une et l’autre débutent une autre vie à jamais marquée par le souvenir de ces quelques instants de bonheur ineffable.
En rentrant chez-elle Caty repensa longtemps à cette nuit avec Mona. Elle n’osa pas ajouter un qualificatif : Nuit d’orgie ! Nuit d’amour, Nuit de plaisir… Non ! Aucun qualificatif ne pouvait convenir ! Alors elle se contenta d’une petite statistique amusante : Caty et Mona avaient passé 8 heures 30 ensemble, Elles avaient bien dormi 2 heures, en général après leurs orgasmes, 6 orgasmes pour Caty 6 orgasmes pour Mona ! Mais au-delà de tout cela il fallait bien admettre que cette rencontre allait laisser des traces… Caty pensait à Mona et se disait qu’elle avait eu le privilège de rencontrer pendant ces quelques heures une femme exceptionnelle !
Longtemps après, c’est au cours d’une après-midi de caresses et de plaisir partagés que Caty avoua cette histoire à son amie, pour expliquer qu’elle ait mis sur le lecteur de cassettes le fameux Lieder de Mahler ! Elle termina en larmes : « C’est une aventure que je ne renouvellerai jamais ». Tu m’as rendu triste car tu viens d’effacer de ma mémoire, par tes caresses, la splendide Mona. »
Je vous dois quelques belles fellations !
Caty