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Suite et fin de la nouvelle :" les cadeaux de l'Aïd-el-Fitr"
Rappel : Karim vient d'offrir Moka, son épouse à Houssam...
Incrédule, il m’a regardé intensément.
- Mais… et toi ?
- Moi ? Je vais vous regarder et peut-être que je participerai, rien qu’un peu. Vas-y, n’aie pas peur… Je crois qu’elle aussi en sera très heureuse.
Alors, sans faire de bruit, Houssam s’est entièrement déshabillé. C’était un beau jeune homme au corps musculeux, à la peau cuivrée. Comme je l’avais présumé, il avait une très belle bite circoncise, avec un gland plus clair que sa peau et une grosse paire de couilles gonflées de foutre. Il bandait déjà à moitié.
À pas de loup, il a marché vers le lit où il s’est assis, avec les fesses de Moka à portée de main. Elle dormait ou du moins paraissait profondément endormie. Du plat de la main, avec une grande douceur, Houssam a commencé par lui caresser la nuque, le dos, de plus en plus bas, puis les fesses. De temps en temps, ses doigts légers s’aventuraient dans l’entrecuisse de ma femme et venaient effleurer son sexe où l’on apercevait déjà des reflets mouillés au bord de la fente entrouverte. Imperceptiblement, Moka se cambrait et répondait à ses caresses en ouvrant davantage les cuisses pour offrir son sexe à ses doigts indiscrets. Aussi, lorsque d’une ferme traction du bras il la força à se retourner, elle n’opposa aucune résistance, comme déjà soumise à ses volontés. Pendant ce temps, je m’étais moi aussi déshabillé et, à genoux au pied du lit, je les observais. Une fois Moka allongée sur le dos, il lui prit la main et la posa sur son sexe incroyablement gros et dur. Elle s’en saisit aussitôt et s’y agrippa avec fermeté. Se penchant au-dessus du corps nu de Moka dont la peau blanche et les cheveux blonds contrastaient fortement avec la peau hâlée et les cheveux bruns de Houssam, il lui lécha les seins, lui suça les mamelons qui durcirent et se dressèrent entre ses lèvres. Sa main glissa sur son ventre, caressa le mont de Vénus, dégagea le clitoris, ouvrit les lèvres vaginales gonflées de désir, fouilla à deux doigts son intimité huileuse. Moka gémit mais garda les yeux clos comme pour savourer pleinement ces instants de grâce. À genoux au pied du lit, je n’en perdais pas une miette. Sexe en main, je me masturbais légèrement, souhaitant retarder au maximum la montée inévitable de ma jouissance.
- Tu peux lui lécher la chatte, elle adore ça !
Quand Houssam posa sa tête entre les cuisses de ma femme, j’ai eu la certitude qu’elle ne dormait plus. Certes elle gardait les yeux fermés, mais à la façon dont elle écarta les jambes pour lui donner plus facilement accès à sa fente ou l’empressement qu’elle mit à ouvrir la bouche pour y laisser entrer le gland qu’il avait posé au bord de ses lèvres, je sus qu’elle faisait semblant de dormir et préférait jouer la comédie et, si nécessaire, plaider plus tard l’innocence.
Tout en tétant goulûment la grosse bite de Houssam qui lui remplissait la bouche, Moka se laissa donc docilement brouter le minou.
Mais il ne tenait pas à lui jouir dans la bouche. Il s’écarta et je pus voir la moule ruisselante de Moka, comme tuméfiée de désir, prête désormais à tous les plaisirs.
- Allonge-toi sur le dos, dis-je à Houssam. Elle va te grimper dessus, c’est la position qu’elle préfère.
Il fit ce que je lui demandais. Sans ouvrir les yeux, Moka se laissa faire lorsqu’il l’attira vers lui. Elle enjamba son corps de façon à présenter sa chatte béante juste dans l’axe de la bite majestueuse de son amant d’un soir. Lâchant ma queue, je montai moi aussi sur le lit et, saisissant d’une main le membre raide et chaud de mon ami, je posai la tête du gland à l’entrée du vagin. Alors devant mes yeux captivés débuta le plus merveilleux spectacle auquel il me fut donné d’assister.
Je vis la colonne de chair de Houssam s’enfoncer doucement mais inexorablement dans la chatte de ma femme. Ses lèvres s’écartaient démesurément pour lui ouvrir le passage. Elle y pénétra jusqu’aux couilles. Quand elle y fut toute entière, elle s’immobilisa quelques instants puis, avec la même lenteur, Moka releva son cul et la colonne de chair réapparut, mais luisante de cyprine, comme badigeonnée d’huile épaisse. Quand il n’y eut plus que la tête du gland dans la chatte, Moka se laissa retomber et de nouveau, avec un bruit de succion, la queue toute entière de Houssam disparut dans son ventre. Cela dura longtemps, longtemps, de plus en plus vite. J’avais sous les yeux non seulement sa chatte défoncée, mais encore le trou de son cul, gras lui aussi, prêt à s’épanouir comme une petite anémone de mer.
Quand Moka eut son premier orgasme, je vis nettement les violentes contractions de son périnée et les palpitations de son oeillet anal. Elle serra les dents pour ne pas gueuler de plaisir. Une fois apaisée la tornade de la jouissance, le jeu du piston de la queue de Houssam dans son vagin reprit de plus belle. Je me branlais énergiquement. Lorsque la peau des couilles de Houssam se resserra et vira au brun foncé, je compris qu’il allait jouir. Pour tout lui lâcher dans le vagin, il s’immobilisa au fond, la tête du gland bien calée sous le col de l’utérus. Les mains posées sur ses hanches, il la bloqua dans cette position et envoya ses giclées de sperme à l’assaut de sa matrice. Moka en fut comme électrisée. Saisie d’un tremblement continu qui lui vrillait le ventre, elle ne put cette fois contenir les cris plaintifs de son plaisir. Se penchant en avant, elle lui donna ses gros seins à téter et se laissa submerger par la puissance de son orgasme. Pour moi, le spectacle était à son apogée. Déjà, du sperme suintait du vagin de Moka et ruisselait sur les couilles de Houssam. Mon foutre jaillit à gros bouillons et s’en alla éclabousser l’anus dilaté de ma femme. Ce fut ainsi qu’entre les fesses ouvertes de Moka, mon sperme vint se mêler celui de mon ami.
On resta comme ça de longues minutes, immobiles, comme sidérés par notre audace. Puis Moka, basculant sur le côté, se libéra de la queue de Houssam qui n’en finissait pas de ramollir. J’eus une dernière vision de son sexe débordant de sperme encore chaud. Elle se recroquevilla en chien de fusil et replongea dans la nuit. Remontant le drap, je recouvris son corps nu. Sans bruit, Houssam et moi, nous nous sommes rhabillés.
De retour au salon, nous avons pris le temps de partager en silence une dernière cannette de bière. À trois heures du matin, Houssam a pris congé. On s’est retrouvés au travail quelques heures plus tard. Entre nous, il ne fut jamais question de cette soirée si particulière. À la fin de la semaine, je suis parti à la retraite. Depuis, Moka n’a plus jamais invité Houssam à la maison.
FIN
© Michel Koppera, décembre 2014
Il en a été le premier lecteur !
Après, l'auriez-vous publiée s'il vous avait répondu ?
Merci pour ce moment de lecture
Je lui aurais demandé l'autorisation de mise en ligne