Samedi 26 novembre 2011
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À la différence des estampes japonaises qui valorisent à outrance les sexes hypertrophiés des deux partenaires (presque toujours
hétérosexuels), les attributs sexuels des personnages mis en scène dans les miniatures indiennes ont des proportions plus raisonnables. Par contre, les situations représentées sont beaucoup plus
variées et libres, rien ne semble tabou : homosexualité, partouze, double pénétration... tout est permis. Bien que maladroit, le graphisme est émouvant et accorde une grande importance au
décor... La plupart de ces images sont originaires des états du nord de l'Inde , et principalement le Rajahstan.
Par michel koppera
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Publié dans : le musée Koppera
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