Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
La visite médicale, la consultation chez le médecin, les soins à domicile ou à l'hôpital de l'infirmière, constituent le socle d'un corpus de fantasmes érotiques largement partagés. Cela me rappelle une sérieuse déconvenue qui m'advint alors que j'avais une trentaine d'années. Comme j'avais quelques problèmes de boutons récurrents et tenaces aux fesses, mon copain généraliste m'avait dirigé vers un dermatologue. Le spécialiste en question était une femme d'une quarantaine d'années à la réputation sulfureuse (on lui prêtait beaucoup d'amants) et qui venait de divorcer quelques mois auparavant. Je ne sais pourquoi mais je m'étais monté tout un film sur ce rendez-vous, imaginant une consultation très chaude, virant à la partie de cul endiablée. Le jour venu, je m'étais présenté, super bien sapé, parfumé, nickel de la tête aux pieds, la queue en alerte. Une fois dans son cabinet, la dermato en blouse blanche m'a reçu, m'a fait déshabiller, a inspecté et touché professionnellement mes fesses, sans prêter la moindre attention à ma bite en semi-érection puis m'a ordonné de me rhabiller. Pendant qu'elle rédigeait l'ordonnance tout en me donnant son diagnostic - dont je ne garde aucun souvenir - je la regardais, ou plus excatement, j'observais son visage avenant, ses mains fines et surtout je tentais de m'imaginer ses sous-vêtements forcément très sexy sous sa blouse blanche. Le temps de signer mon chèque et je me retrouvais dans la rue, seul avec mes fanstasmes et ma queue basse...