Lors de ma première visite au Musée du Prado à Madrid ( c'était en 1985, je crois) je m'étais longuement attardé devant la "Maja desnuda" de Goya ( oeuvre datée de 1800 ) sans trop me demander ce qui me fascinait dans ce tableau. Ce n'est que des années plus tard que j'ai compris, au-delà de la nudité du modèle, combien ces bras relevés et repliés contribuaient à l'harmonie de son corps. Puis, je me suis intéressé à d'autres "odalisques" où j'ai souvent retrouvé cette même symbolique du bras replié au-dessus de la tête qui représente à la fois la nonchalance, l'abandon, la sensualité et l'invitation au plaisir...
Dernière minute : arrêt du blog pour le week-end prolongé, reprise
dimanche 16
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Dans cette intéressante série, j'aime beaucoup l'odalisque dans la pénombre orange ; elle m'évoque Gustave Moreau et la peinture symboliste : je trouve ça très beau.
Merci.