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"Black, blanc, beur", chapitre 10
Alors, Touré a retiré sa bite de ma bouche, Kévin a lâché mes tétons. Il est allé s'asseoir sur le canapé, la bite battant contre son ventre. Slimane a pris la direction des opérations :
- Grimpe sur le canapé et mets-toi à genoux au-dessus de Kevin.
J'ai obéi. À peine en position en face de lui, Kevin a posé ses mains sur mes épaules pour me forcer descendre mon ventre à la rencontre de sa queue raide qui s'est tout naturellement enfoncée dans mon vagin jusqu'aux couilles; Une fois au fond, il a tendu la bouche pour jouer de nouveau avec mes mamelons.
- Cambre-toi mieux que ça, m'a dit Slimane en me donnant une petite claque sur les fesses. Ouvre bien ton cul.
On y était. Le contact de son gland sur mon anus m'a électrisée. Il ne m'a pas donné le temps de dire non. J'étais si ouverte et mouillée que c'est rentré tout seul... Juste une petite douleur et dans les secondes suivantes le bonheur absolu. J'étais comblée. Après quelques instants d'immobilité, ils se sont mis à bouger en alternance comme deux pistons parfaitement synchronisés : un qui rentre, l'autre qui se retire à chaque fois au bord de l'expulsion avant de mieux s'enfoncer de nouveau. Et moi, je me suis mise à jouir à flots continus, à jouir à en perdre la raison. À califourchon sur le canapé, Touré est venu compléter le tableau en me redonnant sa bite à sucer. Kevin et Slimane me labouraient en cadence. Je ne saurais dire lequel des deux a lâché son foutre en premier tant leurs deux bites me semblaient ne faire qu'un tout, appartenir à un même corps. J'ai fermé les yeux et savouré chaque seconde de cette extase pour la graver à jamais dans ma mémoire. Quand ils se sont retirés, j'avais le cul et le con dégoulinants de foutre. Écartelée sur le canapé froissé, j'ai pensé tristement : " C'est fini."
C'était sans compter sur le désir inassouvi de Touré. Il est venu se glisser entre mes cuisses ouvertes et m'a mis son énorme queue en main. Cette sensation a brusquement réveillé ma lubricité. Le tenant fermement, je l'ai attiré vers moi, vers ma vulve engluée de sperme.
- Baise-moi Touré, fais-moi jouir encore...
Sa formidable bite s'est enfoncée dans mon vagin avec un gargouillis visqueux. Elle était si grosse, si épaisse que j'avais l'impression de me branler avec une aubergine. Mais c'était bon, incroyablement sensuel. Pour le remercier, tout en offrant ma bouche au baiser de ses lèvres épaisses, j'ai passé ma main derrière ses fesses à la recherche de sa splendide paire de couilles que j'ai caressées et massées avec tendresse. Ce geste peut-être nouveau pour lui a eu le don de lui donner encore plus de vigueur. Sa longue tige noire allait et venait dans mon con, m'arrachait des soupirs et des râles d'agonisante. Et j'ai recommencé à jouir, à en pleurer de joie... Quand Touré a éjaculé en moi, les soubresauts de sa queue ont ébranlé mon utérus et fait naître une pluie de spasmes incontrôlés au fond de mes entrailles.
J'étais anéantie.
.../...
Une heure plus tard, de retour à la maison, j'ai consulté mon portable à la recherche de la fameuse vidéo que Touré avait filmée et que les trois compères avaient menacé d'envoyer à mes contacts. Aucune trace ! J'étais à la fois rassurée et déçue. Rassurée parce que Bertrand ne saurait jamais rien et déçue car j'aurais tant aimé me voir une dernière fois en cougar !
Le lundi suivant, je suis allée chez le garagiste pour qu'il répare mon pneu crevé. À ma grande surprise, lorsque je suis venue récupérer mon Audi, il m'a dit :
- Il n'était pas du tout crevé votre pneu, mais juste dégonflé. À tous les coups c'est l'œuvre de mauvais plaisantins ou de connards qui ont fait ça pour vous emmerder ! De nos jours, il faut s'étonner de rien !
FIN
© Michel Koppera, août 2016
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