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Bourrages, 4ème partie
Le dernier dessin est de Garnon
Tout au long des six mois qu’ont duré nos amours, Patricia m’initia à des fantasmes que je ne connaissais auparavant que par le cinéma ou la littérature. Chaque semaine, nous passions le week-end ensemble, du vendredi soir au lundi matin. Ensemble, cela voulait dire enfermés dans son appartement où nous avions fait provision de nourriture, de boissons et de cigarettes. Jamais nous n’allumions la télé, ni la radio. Nous étions ainsi complètement coupés du monde, indifférents aux malheurs de la planète. Nous n’écoutions que de la musique : Patricia raffolait des symphonies de Gustav Mahler.
Pendant notre retraite, Patricia ne portait que des vêtements noirs : slip, bas, soutien-gorge ou robe, d’un noir intégral, uni, sans aucun motif. Elle voulait ainsi souligner le contraste avec sa peau blanche. Elle devenait une femme en noir et blanc, yin et yang… Pour moi, elle acheta des strings noirs eux aussi et quelques gadgets érotiques dont des anneaux souples à m’enfiler sur la bite pour favoriser l’érection et les sensations sur son clitoris pendant que je la pénétrais. Nous passions les journées en tenue légère : elle en nuisette noire, les cheveux défaits ; moi en string et tee-shirt. Si j’allais aux toilettes, elle m’y accompagnait car une chose qui la rendait folle, c’était de me voir pisser. Elle regardait ça de près, à genoux, tout en se branlant. Elle était fascinée par le spectacle de mon urine sortant du gland. De même pour le jaillissement de mon sperme. Quand j’étais bien raide, elle aimait passer le bout pointu de sa langue dans la fente du méat, embrasser cette bouche minuscule et lui dire des mots tendres. Patricia me demandait aussi de la regarder pisser, accroupie au-dessus du bidet, et je dois reconnaître que le spectacle du jet de son urine dorée jaillissant de son sexe ouvert au milieu de sa touffe de poils noirs me faisait bander ferme. Elle voulut aller plus loin encore et, certaines nuits, quand elle avait bu plus que de raison, elle me demanda de chier devant elle, pour voir mon cul se dilater au passage de l’étron.
Sa formule favorite, c’était : « Fais de moi ce que tu veux ! ». Et c’était vrai qu’elle me donnait les pleins pouvoirs sur son corps. Je ne saurais dire si j’en ai abusé. Nous vivions dans une sorte d’état second, entretenu par l’isolement, l’alcool et le désir. S’il m’arrivait de la rencontrer au dehors, pendant la semaine, j’avais devant moi une femme froide, distante, et pour tout dire indifférente. Mais au moment du départ, elle me tendait la main :
- Au revoir, monsieur, au plaisir de vous revoir, disait-elle avec dans son regard une petite lueur connue de moi
seul.
(à suivre…)
© Michel Koppera, janvier 2010
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