Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Charles Bösersach, « Petite musique de sexes »
Editions Le Cercle Poche n° 59, 2002, 311 pages
Je vous ai sélectionné deux passages de la première nouvelle du recueil, intitulée « Isabelle & sa mère »
Extrait n° 1 (pages 30-31)
« Relevant sa jupe à mi-cuisses, Thérèse (la mère d’Isabelle) s’assit à califourchon sur mes genoux, déboutonna ma chemise, effleurant puis griffant ma poitrine. Je passai mes deux mains sous sa jupe et lui caressai longuement les cuisses puis, quand je la dégrafai (un bouton, un crochet, une petite fermeture Eclair très serrée) pour la lui retirer par le haut, de manière qu’elle reste installée sur mes genoux, elle défit ma ceinture, ouvrir mon pantalon, s’empara de mon sexe et entreprit de me branler. J’avais empoigné ses fesses à travers sa culotte et les malaxais avec rudesse. Elle gémissait. Nos dents se heurtèrent, elle mordait mes lèvres, suçait et aspirait ma langue avec une voracité soudaine qui me surprit. Voracité et fantaisie. Je parvins à lui laisser entendre que si cet exercice se prolongeait encore un peu, j’aurais bientôt à déplorer d’avoir à me répandre sur ses doigts. Sa caresse s’accentua, sa langue remuait tout le long de mon cou et j’eus à regretter ce manque d’endurance qu’elle paraissait souhaiter : sa main fut arrosée, qu’elle porta à sa bouche, qu’elle embrassa en souriant, avec des mots d’amour. Elle me regarda sans rire et conclut :
- Maintenant, tu vas bien me baiser…
J’objectai que mon état ne laissait guère présager pareille issue pour le court terme mais elle me renversa sur le lit et, nue, s’assit sur ma bouche. Il n’est pas d’autres mots. Elle me regardait d’en haut, attentive, tandis que je m’appliquais de mon mieux en savantes caresses de la langue. Son sexe était ouvert, mouillé, je ne me lassais pas d’y enfoncer la langue, avec de temps en temps un détour, une politesse vers le cul, dont je découvris bien vite l’extrême sensibilité. Elle porta sa main sur mon ventre et, constatant sans sourire que les forces m’étaient revenues, se recula, s’arracha de ma bouche trempée et s’empala sans manières sur l’organe miraculeusement ressuscité. D’un coup, en elle tout à fait, qui remuait doucement d’avant en arrière, nous prodiguant d’exquises contractions qui m’arrachaient de petits gémissements parfaitement ridicules. Elle connut plusieurs transports avant que je me rende. »
Derniers Commentaires