michel-koppera

"Crissie et Monsieur K." Chapitre 2 b

Monsieur K. m'a poussée vers le fauteuil de cuir qui m'accueille doucement de sa patine glacée.

Malgré l'ordre intimé, je ne bouge pas.

- Allez, ajoute-t-il, ouvre-moi donc ce peignoir ! Montre-moi tes seins et écarte les jambes ! Je t'ai dit de te branler !

Mes genoux tremblent.

Je dévoile mes seins restés adolescents et exhibe honteusement un sexe de presque trentenaire que je garde lisse comme celui d'une petite fille.

Il dit : "J'aime pas trop ça, les chattes nues ! L'avantage, c'est que je te verrai bien... Allez !"

Je demande s'il accepte que je me branle à travers le tissu, il n'y a que comme ça que je peux jouir avec violence…

Il dit alors : "Qui a dit que tu devais jouir ? Je veux juste te voir te branler !"

Mécanique des machines bien huilées... Mon index et mon majeur gauches entourent et astiquent consciencieusement ...

Je vois sa queue dressée, de plus en plus dressée ... Je ne peux m'empêcher d'être affolée, de plus en plus, et de n'avoir plus qu'une idée fixe : me faire défoncer par cette queue-là, énorme et tendue..