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"Crissie et Monsieur K." Chapitre 7 b
Crissie a du vague à l'homme... Elle semble droite et fière, plantée sur ses jambes fines galbées par les talons aiguilles imposés, mais sa tête est ailleurs : Monsieur K souffle alternativement le chaud et le froid et elle ne sait plus à quoi s'en tenir. Elle fleure parfois le danger pas très loin, et la minute d'après voit dans ses yeux quelque chose qu'elle a déjà vu dans les yeux d'autres hommes. Amoureux d'elle. Quelle est la part du semblant, du faux-semblant, du libre-arbitre ? Sans doute est-il là derrière, tout près, à la surveiller et à la contrôler, à se demander comment elle va se sortir de cette épreuve.
Va t'elle jouer le jeu?
Crissie se sent désirable, désirée. Elle aime cette sensation. Puisque c'est comme ça, c'est décidé, elle va rendre fous de désir tous ces mâles en rut dont la légitime et routinière épouse profitera des ardeurs sans savoir d’où vient ce regain d’amour.
Pour elle, le ralenti est lascif, alors elle se met à bouger au ralenti en regardant droit dans chaque hublot derrière lequel, elle le devine, elle le sent même de manière palpable, des regards avides la dévisagent.
Elle bouge doucement la tête, comme si elle dansait, comme si elle était habitée, et se met à balancer des hanches, en un tangage régulier et qui monte. Elle caresse ses seins à travers le chemisier de soie, passe la main sur sa jupe presque transparente, la dégrafe à gestes flous, comme troublée.
La jupe tombe sur le sol rêche. Elle l'écarte et vient frotter sa dentelle de culotte contre chaque hublot, l'un après l'autre.
Elle a l'impression d'entendre leurs souffles...
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