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"Crissie et monsieur K.", chapitre 8a
Une fois la porte refermée, pour te parler franchement, je me désintéresse de ce que tu vas faire, de la façon dont tu vas réagir. D’ailleurs, je quitte le sex-shop et pour fumer tranquillement une cigarette dans la rue.
À mon retour, il y a le patron qui m’attend en haut des marches qui mènent au sous-sol. Il a l’air très excité et me fait signe de le rejoindre.
- C’est qui cette fille ?
- Je ne sais pas vraiment. Elle prétend s’appeler Crissie, c’est tout ce que je peux vous dire…
- Et comment vous l’avez dénichée ?
- À un vernissage, il y a un peu plus de trois semaines… Depuis, elle habite chez moi. Mais pourquoi vous me posez toutes ces questions, il y a quelque chose qui cloche ?
- Venez voir vous-même !
On redescend au sous-sol. Le patron me précède dans le couloir sombre et circulaire qui donne accès aux cabines des clients. Elles sont presque toutes occupées. Malgré la pénombre, je distingue des hommes debout devant le hublot de lumière, le visage presque collé à la vitre sans tain. Certains ont même le pantalon aux chevilles et des gestes sans aucune équivoque : ils sont en train de se masturber. Enfin, une cabine libre. Le patron s’écarte pour me laisser entrer :
- Je vous en prie, regardez-la, ça vaut le coup d’œil !
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