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Dès le mardi suivant, je retourne au château. Les enfants sont à l’école, Hélène au boulot. Dominique ne se donne même pas la peine de feindre la surprise. On ne s’embarrasse pas de politesses, ni de faux-semblants. Un quart d’heure plus tard, on est tous les deux à poil sur le lit, à se dévorer mutuellement.
Dominique a la peau d’une étonnante douceur, lisse et veloutée. Mais rien à voir avec une peau de bébé, au contraire. Chez elle, la texture en est ferme, musculeuse. Comme je l’avais constaté sur ses dessins, elle n’est pas très poilue : elle n’a qu’une petite touffe de poils châtain clair, plutôt clairsemés, si bien que rien ne cache sa fente. L’entrefesses est glabre et lisse. Ses seins aussi sont menus, avec de petits tétons semblables à deux raisins de Corinthe dont ils ont la couleur et la consistance. Comme elle souhaite ôter ses lunettes, je lui demande de les garder. Je ne saurais dire pourquoi, mais je sens qu’il est nécessaire qu’elle les porte jusqu’au bout.
Dominique baise comme une forcenée, à grands cris. Pour une femme qui a eu un enfant, elle a le con plutôt étroit. Je ne peux m’empêcher de le comparer à celui d’Hélène, large et profond comme un vestibule, alors que dans le réduit de Dominique, ma bite est serrée, palpée, pressée de toutes parts. Elle m’encourage du ventre et de la voix :
- Vas-y, baise-moi ! N’aie pas peur de me faire mal, de me défoncer, j’aime ça ! Mon dieu, que c’est bon ! Ça fait plus de six mois que je n’ai pas baisé. Donne-moi ma dose !
Elle me chevauche, à califourchon sur mon ventre. Elle veut que je lui morde les tétons. Pas mordiller comme un chiot, mordre carrément. Ça la fait jouir. À chaque orgasme, ce n’est pas l’habituelle inondation de mouillure mais son vagin est agité de violentes contractions, une forte rougeur lui monte sur le buste, entre la base du cou et les seins, une plaque écarlate aux bords indistincts. Elle crie, griffe, grimace. Un rictus de plaisir fige sa bouche ouverte.
Moi, je ne sais pas ce qui m’arrive, je n’y comprends rien : je sens que ma bite n’a jamais été aussi dure, mais en même temps que je n’arriverai pas à jouir en elle. Ça pourrait durer des heures. D’ailleurs, elle commence à manifester des signes d’impatience.
- Allez, viens, s’il te plaît. Lâche ton foutre ! Je veux le sentir couler dans mon ventre.
Mais rien n’y fait. Alors on continue, encore et encore. Je ne débande pas.
- Qu’est-ce que tu veux ? demande-t-elle enfin immobile, presque sereine.
- Peut-être tout balancer sur tes lunettes…
Me voilà donc, à genoux sur le lit, à me branler au-dessus de son visage myope. Ce n’est pas long à venir : mon sperme éclabousse les verres des lunettes… C’est tellement bon que j’en ai les jambes qui tremblent.
Sous la douche, c’est elle qui me savonne la bite et le cul. Elle se colle contre moi.
- Il faut qu’on se revoie. On a beaucoup de choses à faire ensemble.
- Ça ne va pas être facile : il y a les enfants, et surtout Hélène.
- Ta femme ! Ce n’est pas un problème, je m’en charge. Laisse-moi faire. Tu bandes encore ! Le père de Nicolas, il baisait comme un lapin : vite fait, mal fait. Pince-moi le bout des seins !
à suivre...
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