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Suite et fin de la rencontre entre Odile et Séverine
Séverine n’en demandait pas tant. Elle s’approcha et posa ses mains tremblantes sur les seins d’Odile. Elle resta très longtemps comme cela, quasiment immobile, avec ses mains qui habillaient tendrement les seins d’Odile. Mais insensiblement, leurs visages se rapprochaient, les yeux dans les yeux… Puis enfin leurs bouches mêlèrent leur souffle, leurs lèvres se frôlèrent d’abord, puis se collèrent pour un long baiser mouillé… Alors seulement les mains de Séverine abandonnèrent les seins d’Odile et descendirent sur ses hanches, ses fesses, son ventre. Odile écarta un peu les jambes pour ouvrir l’accès à son sexe que caressait Séverine à travers sa culotte bientôt humide. Quand elles furent repues de baisers, Odile s’écarta un peu pour glisser sa main dans le peignoir de Séverine qui ne portait rien en dessous, ni culotte, ni soutien-gorge. La fente de son sexe entièrement épilé était gluante. Odile ouvrit le peignoir en grand et vit les seins lourds aux mamelons dressés, les cuisses dodues sous l’arrondi de son ventre…
- Il faudrait que je perde quelques kilos, soupira Séverine.
- Mais non, vous êtes très belle comme ça !
- Vous trouvez ?
Bras dessus, bras dessous, elles regagnèrent le salon : Odile en petite culotte et porte-jarretelles, Séverine en peignoir débraillé. Elles se vautrèrent sue le canapé. Séverine fit glisser la culotte d’Odile jusqu’aux chevilles, lui écarta les cuisses et vint plaquer la bouche sur sa vulve tuméfiée de désir. Pour la première fois, une femme lui léchait le sexe. Penchant la tête vers son ventre, elle ne voyait que la masse de l’abondante chevelure blonde étalée sur sa peau. La langue de Séverine était chaude et souple. Avec une perfide douceur, elle fouillait son intimité, branlait son clitoris… De toute évidence, ce n’était pas la première fois qu’elle se livrait à cet exercice : sa bouche était experte en caresses.
Odile profita de ce long cunnilingus pour biper discrètement le portable de l’époux aux aguets. Puis, libérée de ses obligations, elle put enfin se laisser aller, elle aussi, au plaisir. Pour rendre la politesse à Séverine, elles se retrouvèrent tête-bêche en travers du canapé à se lécher mutuellement, à se caresser, à se doigter profondément… À ce jeu, Séverine fut la première à jouir : un orgasme glapissant, générateur de flots de liqueur vaginale qui lui inondèrent la vulve en saccades, au rythme des pulsations de son périnée en émoi. Plus tard, elles entrecroisèrent leurs cuisses à la manière de deux paires de ciseaux, de telle sorte que leurs bas-ventres étaient ventousés l’un à l’autre : leurs lèvres vaginales s’embrassaient, leurs mouillures se mêlaient, leurs clitoris s’excitaient mutuellement. Séverine ondulait du bassin pour accentuer le frottement. Elle était en sueur, échevelée et pantelante, le feu aux joues, incapable d’une parole sensée…
C’est ainsi que son mari les découvrit, nues sur le canapé, emboîtées comme les deux pièces maîtresses d’une machinerie infernale. Tout à leur plaisir, elles ne l’avaient pas entendu arriver. Puis soudain, Séverine s’écria :
- Oh, Hubert ! Qu’est-ce que tu fais là ? Ce n’est pas du tout ce que tu crois, laisse-moi t’expliquer !
Elle tenta de se dégager. Ce faisant, elle offrit le spectacle de sa vulve poisseuse, de son vagin béant et gras, de son clitoris en érection. Avant que Séverine ait pu quitter le canapé, Hubert avait déjà pris place aux côtés des deux femmes nues, ouvert son pantalon et sorti sa queue raide. Il bandait ferme !
- C’est un malentendu, répétait désespérément Séverine… Je vais tout t’expliquer.
- Tu m’expliqueras plus tard… Tu auras tout le temps pour ça ! Déclara Hubert en renversant sa femme sur le canapé et en lui écartant les cuisses. Elle se laissa faire. Alors, sans attendre, il lui planta sa queue raide dans le con pendant qu’Odile venait s’agenouiller au-dessus du visage de Séverine. Odile s’abaissa lentement jusqu’à ce que sa vulve écartelée rejoigne la bouche de Séverine. Ainsi alors qu’elle embrassait goulûment Hubert, elle se faisait lécher la moule. Séverine eut vite un nouvel orgasme encore plus glapissant que le premier. Puis ce fut au tour d’Odile de se faire enculer par la grosse queue d’Hubert pendant que, couchée sous elle, la tête entre ses cuisses, Séverine lui suçait le clitoris et massait les couilles velues de son mari. Odile retenait sa jouissance, elle voulait en profiter au maximum. Dans un ultime coup de rein, Hubert lui lâcha tout dans le rectum.
- Oh, mon dieu , mon dieu ! gémissait Séverine en passant la langue sur les lèvres où tombaient des gouttes de sperme chaud.
Plus tard, quand ils furent tous les trois rhabillés, recoiffés et assagis, Hubert et Odile se livrèrent, devant une Séverine étrangement discrète, à la mascarade d’un entretien d’affaires. Ils discutèrent donc délais de livraison, marges bénéficiaires et clauses de rupture de contrat, puis apposèrent leurs signatures au bas des documents. Hubert raccompagna Odile jusqu’à l’ascenseur et la remercia de sa prestation.
- Je vous tiendrai au courant de la suite, lui dit-il en la quittant. Je vous revois dans un mois…
En effet, elle le revit un mois plus tard, dans l’hôtel où ils avaient leurs habitudes.
- Séverine ne m’a jamais reparlé de vous, ni de ce que vous aviez fait ensemble. Mais ce qui a changé, c’est que depuis, chaque samedi soir, je loue les services d’une escort-girl. Séverine ne se mêle pas du choix, ne pose aucune question. Nous nous retrouvons vers 21 heures dans un restau. On dîne ensemble tous les trois, puis après le repas on prend une chambre d’hôtel pour faire l’amour à trois. La fille repart vers minuit. La seule chose qu’exige Séverine, c’est de ne jamais la revoir. Chaque soirée doit rester sans lendemain, et c’est sans doute mieux comme ça ! Je la sens plus épanouie, presque sereine.
© Michel Koppera, juillet 2013
à suivre…
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