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Le saviez-vous ? # 136
Au Moyen-âge, les coiffeuses, comme les étuvières (les femmes qui tenaient des bains publics), avaient la réputation de se livrer, sous ce couvert, à des activités moins avouables que la morale publique réprouvait et que les autorités locales pénalisaient un peu partout. À Marseille, les prostituées ne pouvaient fréquenter les étuves et les bains publics que le lundi et devaient être expulsées de leurs résidences si les gens de bonne réputation qui habitaient la même maison ou le même quartier portaient plainte contre elles. À Bordeaux, quiconque recevait une prostituée chez lui était mis à l'amende : "10 sous par nuit ! "
À cette époque, les bains publics étaient des lieux de plaisir. Ces établissements étaient mixtes et on s'y baignait nu. Les baignoires étaient suffisamment grandes pour accueillir plusieurs personnes. On s'y rendait certes pour se laver, mais aussi pour manger, se faire raser ou masser et pour y goûter aux joies du sexe car la prostitution y était généralement tolérée.
Source : Régine Pernoud, "La Femme au temps des cathédrales", Editions Stock, 1980.
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