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Le saviez-vous n° 79
De la masturbation au Moyen-âge.
Les médecins avaient constaté que certains individus des deux sexes éprouvaient plus que d’autres le besoin de s’accoupler. Le satyriasis qui entraînait une érection continue accompagnée de plaisir était apaisé par le coït. Un texte du XIII ème siècle indiquait que, « dans les divers monastères et les lieux religieux, de nombreux hommes voués à la chasteté, en mangeant quotidiennement des aliments qui engendrent la ventosité, voient augmenter leur désir de coït et tendre leur membre. »
La gonorrhée est plus longuement étudiée. Par là les médecins entendaient surtout la spermatorrhée, c'est-à-dire la perte involontaire de semence. Selon eux, la continence constituait un danger pour les jeunes gens et les hommes de complexion chaude et humide, car la matière non expulsée affectait le cœur, et subséquemment devenait nocive pour différentes fonctions. Ainsi vers 1300, dans le diocèse de Cambrai, le curé pouvait permettre les péchés contre nature et celui de mollesse (mots pour désigner la masturbation et l’homosexualité) jusqu’à 14 ans pour les garçons et jusqu’à 25 ans pour les filles. Preuve que le clergé considérait que la masturbation féminine était moins grave que celle de l’homme.
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