Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Le saviez-vous n° 79
De la masturbation au Moyen-âge.
Les médecins avaient constaté que certains individus des deux sexes éprouvaient plus que d’autres le besoin de s’accoupler. Le satyriasis qui entraînait une érection continue accompagnée de plaisir était apaisé par le coït. Un texte du XIII ème siècle indiquait que, « dans les divers monastères et les lieux religieux, de nombreux hommes voués à la chasteté, en mangeant quotidiennement des aliments qui engendrent la ventosité, voient augmenter leur désir de coït et tendre leur membre. »
La gonorrhée est plus longuement étudiée. Par là les médecins entendaient surtout la spermatorrhée, c'est-à-dire la perte involontaire de semence. Selon eux, la continence constituait un danger pour les jeunes gens et les hommes de complexion chaude et humide, car la matière non expulsée affectait le cœur, et subséquemment devenait nocive pour différentes fonctions. Ainsi vers 1300, dans le diocèse de Cambrai, le curé pouvait permettre les péchés contre nature et celui de mollesse (mots pour désigner la masturbation et l’homosexualité) jusqu’à 14 ans pour les garçons et jusqu’à 25 ans pour les filles. Preuve que le clergé considérait que la masturbation féminine était moins grave que celle de l’homme.
Derniers Commentaires