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"Les villes d'eau ont eu de tout temps une alléchante réputation. Chez les romains, la station thermale de Baïes, que Sénèque appelait "la retraite du vice", attirait plus d'oisifs à la recherche de plaisirs voluptueux que de malades authentiques. Au Moyen Âge, Bade, grâce à ses sources, était devenue l'un des plus grands lupanars d'Europe. Un vrai malade qui s'aventurait parmi les curistes était considéré comme un trouble-fête et l'on s'ingéniait à le faire mourir pour s'en débarrasser. Au XVIème siècle, Plombières, où hommes et femmes se baignaient nus dans la même piscine, sous le prétexte de combattre une colique néphrétique, fut le théâtre d'incroyables orgies."
Guy Breton, Histoires d'amour de l'histoire de France, tome 8, "Napoléon et Marie-Louise" ( 1963) Presse Pocket n° 520. Note page 632
Fresque murale d'un des thermes de Pompeï
Le bain des femmes. Gravure de Dürer
"Partouze mondaine" au XIXème siècle