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"Les ardents de la Rue du Bois-Soleil" # 31
Elle se branla de la main droite : cela débuta par une sorte de massage circulaire de son pubis, de plus en plus bas, de plus en plus centré sur le haut de sa fente. Bientôt, j’entendis le petit clapotis mouillé de son vagin, léger comme le bruit d’une bulle de salive qui éclate sous la langue. Alors que de la main gauche, elle avait dégagé son clitoris pâle, elle se mit à le frotter du plat de l’index, lentement, systématiquement… Elle soupira, puis gémit. Maintenant, sa vulve était bien huilée et, de temps à autre, de l’index, du majeur et de l’annulaire réunis en fuseau, elle se pénétrait le vagin. Ses doigts en ressortaient luisants de mouillure dont elle se servait pour se lubrifier la fente jusqu’en haut. Ses gémissements devinrent peu à peu une sorte de plainte continue. Son regard aux paupières lourdes ne quittait pas ma queue raide où perlait une goutte translucide de désir.
Brusquement, mon sperme partit tout seul, sans même que je me touche. Ma jouissance ne fit que précipiter la sienne. Ses doigts s’agitèrent frénétiquement sur son clitoris, en mouvements rapides et presque désordonnés. Un tremblement convulsif s’empara de ses jambes et de son ventre, ses pieds se cambrèrent, ses orteils se crispèrent en éventail. Elle ferma les yeux, rejeta la tête en arrière et l’orgasme la transperça comme une flèche ardente. Bahamontès enchaînait allègrement les lacets du col de la Bonette.
Nous voilà de nouveau côté à côte sur le lit. Geneviève me tient légèrement la main droite et la guide entre ses cuisses ouvertes.
- À ton tour ! me glisse-t-elle à l’oreille.
Lorsque mon doigt se pose sur son clitoris, elle est secouée par une sorte de décharge électrique.
- Avec lui, vas-y doucement, il est très sensible. Tourne plutôt autour…
Ainsi, patiemment, elle m’initie aux subtilités des caresses, à l’art d’alterner pressions et effleurements, glissements et palpations… Elle guide aussi mes doigts vers le coussinet grumeleux qui tapisse la paroi supérieure de son vagin, non loin de l’entrée, siège secret de plaisirs redoutables. Pendant ce temps, elle astique ma bite redevenue aussi dure qu’un manche de bakélite, me malaxe langoureusement le gland… Elle s’envoie en l’air encore deux fois, sa vulve est si mouillée que ça coule sur le drap… Et moi, je gicle de nouveau, au creux de sa main caressante.
- Tu veux boire quelque chose ? demande-t-elle en s’essuyant les doigts gluants de sperme avec une petite serviette éponge. Il reste de la limonade.
Comme elle est assise au bord du lit, je vois les plis de son ventre ainsi que la trace bleue d’une veine qui court à fleur de peau le long de sa cuisse et, de nouveau, je suis saisi d’une sorte de répulsion honteuse.
- Non, merci, je n’ai pas soif. Je vais y aller…
Plus tard, quand mon corps aura été longuement lavé à l’eau de mer et séché au soleil, quand la subtile odeur iodée du sable aura définitivement effacé sur ma peau le parfum lourdement fruité de Geneviève, je m’achèterai une bouteille de Pschitt citron que je boirai avec une paille, assis sur le parapet de la digue, face à la mer, le regard au loin…
à suivre...
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