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"Les ardents de la Rue du Bois-Soleil" # 32
Il en alla ainsi chacun des jours suivants.
Le mercredi 1er juillet, après une demi-étape matinale pour se mettre en jambes, l’après-midi fut consacré à un bref contre la montre entre Hyères et Toulon. En vingt-et-un kilomètres et moins d’une demi-heure, Anquetil rappela sèchement à Poulidor qui était le maître du peloton : trente-six secondes ! Plus d’une seconde et demie au kilomètre ! Et les autres à plus d’une minute ! Une démonstration de force.
Cet après-midi-là, Geneviève me révéla les subtilités d’un autre nombre, tout aussi fascinant : soixante-neuf. À dire vrai, ce n’est que quelques années plus tard que j’appris que cela s’appelait comme ça. Avec Geneviève, la position n’avait pas de nom.
Voici comment les choses se passèrent. Après les baisers, caresses et exhibitions d’usage – en trois rencontres, nous avions déjà établi une sorte de rituel des préliminaires – Geneviève me fit allonger sur le dos et, prévoyante, me glissa un oreiller sous la nuque de façon à me relever la tête. Mon érection me battait l’abdomen. Nue comme moi, Geneviève monta à son tour sur le lit, m’enjamba et posa ses genoux de part et d’autre de mon corps étendu, livrant ainsi à mon regard ébloui toute l’étendue de son sillon fessier, du bas des reins jusqu’à la fente de sa vulve tourmentée. Très lentement, elle se laissa descendre vers ma bouche gourmande. Lorsque je n’eus plus besoin de tendre les lèvres pour la toucher, elle s’immobilisa. J’avais le nez sur le trou de son cul dont la senteur poivrée redoubla mon ardeur. Je lui léchai méthodiquement la fourche, la vulve, le périnée et l’anus où je m’aventurai même à pointer une langue curieuse, pendant qu’elle me tenait fermement la bite.
Une fois bien excitée, Geneviève se pencha en avant. Dans ce mouvement, son cul s’élargit plus encore, sa vulve s’épanouit, son anus se dilata, les deux hémisphères de ses fesses blanches s’écartèrent. À son tour, sa bouche me saisit, m’engloutit, me suça. Ses doigts me titillaient le scrotum et me massaient les couilles. Et moi, pour me livrer à elle, j’écartais les cuisses. Je lapais toute sa boutique à grands coups. Ma salive et sa mouillure ne faisaient plus qu’un ; sa bouche était vagin, ma langue bite souple. Pour la première fois de ma vie, je parvins à me retenir vraiment, à contenir la montée de mon sperme que je devinais sous pression quelque part dans mon ventre. La saisissant à deux mains, je lui écartai les fesses. Tout s’ouvrit et je vis enfin l’intérieur de son vagin, crevasse chaotique aux parois mouvantes et convexes, à l’aspect luisant d’une huître grasse, prête à être gobée. Et je restai là, à contempler les secrets de son intimité de mollusque. Quelque part dans mon ventre, les vannes s’ouvrirent. Mon sperme montait et cette fois je ne pouvais plus rien pour arrêter sa course. Il s’écoula dans la bouche de Geneviève, une houle de spasmes agita l’huître géante de son ventre… La radio passait une chanson des Rolling Stones, You can make it if you try…
Je ne me souviens pas de la fin de ce premier jour de juillet. Sans doute suis-je allé à la plage, mais cela n’a que peu d’importance. L’essentiel était que je venais de remporter une grande victoire sur moi-même. Désormais, j’étais en quelque sorte maître de mon désir. Fini le temps des éjaculations précoces, des jouissances spontanées…
à suivre...
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