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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Les quatre Sirènes # 3
La seconde fois, c'était en juin 1990. J'avais organisé pour mon anniversaire un dîner avec des amis allemands originaires de Cologne que j'avais connus lors de mes missions outre-Rhin. Ils étaient venus à six (3 couples) passer deux semaines en France et, de passage en Normandie, en avaient profité pour me rendre visite. À cette occasion, j'avais aussi invité Valérie que je leur présentai comme une amie. Je me souviens qu'elle était venue habillée d'une longue jupe noire, d'un chemisier en soie à fleurs, qu'elle portait des bas et des escarpins noirs vernis. La soirée se prolongea jusque tard dans la nuit et ce n'est que vers 3 h du matin que mes invités ont rejoint l'hôtel très proche où ils étaient logés (ma maison était trop petite pour les héberger). On s'est donc retrouvés seuls, Valérie et moi, dans la maison vide, entourés de vaisselle sale, de nombreux cadavres de bouteilles de vin ou de bière. On avait pas mal bu, il n'était pas question qu'elle prenne le volant. Alors, on est montés se coucher dans la grande chambre mansardée. Ce fut la première et dernière fois qu'elle y pénétra. Ce fut aussi notre plus belle nuit d'amour. Nous n'avions plus sommeil. Nous étions comme deux animaux en saison : elle les mamelons durcis, la bouche gourmande, la vulve dégoulinante ; moi, la bite au garde-à-vous, les mains impatientes... Je ne saurais dire combien de temps on a baisé. On se suçait, s'emboîtait, se caressait partout. Elle jouissait en continu, je me retenais d'éjaculer. Cette nuit-là, alors que je venais de lui lécher longuement l'anus, elle m'a demandé de l'enculer. C'était plus qu'inattendu ! En effet, Valérie avait toujours refusé la sodomie car elle souffrait d'hémorroïdes internes qui lui faisaient redouter cette pratique. Pourtant, ce nuit-là, c'est elle qui me l'a demandé. Par chance, j'avais un tube de vaseline dans le tiroir de la table de chevet. Allongée sur le ventre, les fesses relevées par un gros oreiller, les cuisses très écartées, elle a laissé mes doigts enduits de vaseline lui masser l'anus, le pénétrer avec un, deux, puis trois doigts, jusqu'à ce qu'il soit souple et détendu. Quand elle s'est sentie prête, elle m'a demandé de le lui mettre. De la main droite passée sous son ventre, elle se branlait le clito. Alors je suis venu me placer entre ses jambes ouvertes, ma queue enduite de vaseline a trouvé d'elle-même le chemin de son anus et s'y est enfoncé en douceur. Valérie a projeté ses fesses à la rencontre de ma bite pour qu'elle la pénètre au plus profond. J'ignore si elle a eu le temps de jouir parce que, en ces instants, j'étais si heureux que je lui ai rapidement balancé tout mon sperme dans le rectum. Les pulsations de ma bite qui déchargeait se sont propagées dans le ventre de Valérie que j'ai entendue soupirer et gémir pendant que les sphincters de son anus dilaté me palpaient la bite en cadence.
À relire ces souvenirs, on pourrait croire que tout était "pour le mieux dans le meilleur des mondes." Il n'en était rien. En dehors du sexe et du vin, nous n'avions rien en commun. Tout nous divisait, nous éloignait : notre vision du monde et notre rapport aux autres, l'éducation de notre fils, nos goûts littéraires et artistiques... Elle méprisait mon travail d'écriture, je ne comprenais pas sa phobie des microbes... Alors on évitait les sujets qui fâchent. On se parlait peu et seulement de cul. Elle me tenait régulièrement au courant de son ovulation, de ses secrétions intimes, en me disant par exemple : "Cette semaine, j'ai eu la chatte toute baveuse pendant deux jours." Je lui disais que je m'étais branlé en regardant les photos de sa vulve, et ça lui faisait plaisir. On ouvrait une bouteille de Sauternes et on baisait...
à suivre...
Je ne partage pas ton point de vue. Je pense que si l'homme cherche une partenaire sexuelle, il cherche aussi une partenaire à part entière, une partenaire qui soit culturelle, sociale, culinaire... Il cherche toute sa vie, et trouve très rarement !
Et sans vouloir être vulgaire un musée, un restaurant gastronomique ou une randonnée je peux les faire tout seul....... une partie de cul c'est beaucoup plus compliqué.....
Mais tu as raison en disant que l'homme cherche aussi la culture, le social, et la cuisine........ mais enlève ta culotte d'abord !
Je n'ai absolument jamais eu ce sentiment en lisant vos souvenirs.
Vous me pardonnerez, je l'espère, cette franchise, mais je me suis toujours au contraire senti écœuré de constater le nombre de relations que vous avez entretenues tout en sachant pertinemment qu'elles ne mèneraient nulle part sur le plan émotionnel, en récidivant même si possible, pour, à l'évidence, le seul attrait purement sexuel qu'elles revêtaient en dépit de tous les échecs sur tous les autres plans auxquelles elles avaient déjà abouti ou aboutiraient de façon certaine.
Vous parlez en réponse à Patrick, de cette recherche de toute une vie de cette partenaire capable de nous satisfaire sur tous les plans, mais rien de cela ne transparaît dans tout ce que vous avez pu confesser sur ce site et il est, de ce fait, bien difficile de vous croire. Je trouve que vous donnez à Patrick bien davantage raison que vous ne le pensez.
Donc, l'impression que tout était "pour le mieux dans le meilleur des mondes.", je ne l'ai jamais eue en vous découvrant, non. Plutôt celle que vous avez usé et abusé d'une chance insolente que vous ne méritiez pas, pour être parfaitement honnête. Ces nouvelles confessions, une fois de plus, m'en convainquent.
Je prends acte de votre commentaire. J'y répondrai de façon personnalisée et argumentée prochainement, mais hors blog.
Je sais, mais c'était trop intime pour être partagé par tous. Désolé
Sans me dédire sur ce qui ne reste cependant qu'une impression de ma part uniquement basée sur ce que vous confiez sur ce blog, je regrette sincèrement que mes propos vous aient blessé ; faire du tort aux autres est une chose dont je ne tire aucune fierté, je vous prie de le croire, et dont la crainte m'incite, en général, à plus de retenue.