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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Le verbe jouir apparaît dans la langue française au XIIème siècle. C'est un dérivé du verbe latin populaire "gaudere" qui signifie "se réjouir".
JOUIR : avoir du plaisir, profiter pleinement des plaisirs que procure ce que l'on a, ce qui s'offre.
Voir : Jouissance, jouisseur, jouissif
Cette même racine latine "gaudia" donnera le mot "joie"
À partir de là, le sens de certains mots ou expressions nous apparaît beaucoup plus clair. Comme la gaudriole (plaisanteries grivoises), les "filles de joie" ( qui donnent à jouir), ou même "les joyeuses" pour parler des testicules. (Je pourrais même y ajouter le nain "Joyeux" dans Blanche-Neige qui ne serait rien de plus qu'un jouisseur, représentant de la luxure, l'un des 7 péchés capitaux)
Sans oublier tous les dérivés du verbe "se réjouir" (1849). Rendre joyeux, mettre de bonne humeur. Ce qui nous amène aux réjouissances : joie collective.
Dans les "Petits poèmes en prose" ( 1862), Baudelaire écrivait :" Mais qu'importe l'éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance"
Voici donc quelques instantanés où il me semble que le photographe est parvenu à saisir dans son objectif cette seconde d'infini. Il y a dans l'expression des visages, si proche parfois de la douleur, quelque chose qui ne trompe pas... Devant les photos de ces femmes au paroxysme du plaisir solitaire, je ne peux m'empêcher de me souvenir des paroles d'une chanson de Charles Trénet où l'on avait surpris la bonne de la maison en train de "se donner de la joie" derrière une porte ( avec quel objet ? je me me souviens pas. Mais caty m'informe qu'il s'agit d'une passoire !) ... Comme d'habitude, je vous laisse juges.
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