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Michèle LARUE, "Le pistolet à sperme" : troisième et dernier extrait du recueil de nouvelles "Plaisirs de femmes" ( Editions Blanche, 1998)
Léa et Clémence sont au lit. Clémence vient de faire jouir son amante en lui léchant la chatte. C'est maintenant à Léa de passer à l'action:
" Descendant à son tour sur la couette, elle attrape les lèvres de la chatte trempée à deux doigts, et tire fermement pour l'amener à sa portée. Le clitoris de Clémence est étonnamment long puisqu'il mesure plus de quatre centimètres. D'une main, Léa cherche son jean sur la moquette et extirpe de la poche une pince à cheveux qu'elle pose d'un geste sec en travers de l'appendice. Pour sentir les contractions du vagin de Clémence qui s'ouvre déjà comme une bouche d'ogre, elle se met à torturer la languette rose.
- Un jour, des dents pousseront à la place des petites crêtes de chair que je sens pointer sous ma main à l'entrée de cet étui brûlant, marmonne-t-elle, interrompue dans son monologue inaudible par un "Fais-moi mal" ahané d'une voix suppliante.
La poitrine de Clémence, étroite et petite, est projetée en hauteur par son désir de souffrance. Glissant un doigt, puis deux, puis la main entière dans le vagin de Clémence, Léa se met à la branler. Toute son énergie descend dans son avant-bras. Elle glisse son poing entre les muqueuses alanguies. Le ventre se tord sous ses poussées, des rugissements entrecoupés de hoquets l'encouragent. Elle frappe du poing à plusieurs reprises au fond de la cavité. La sueur ruisselle de ses tempes et tombe en gouttes sur les seins de Clémence. Lorsqu'elle la sent prête à jouir, elle accélère le rythme des coups au fond de son con. Elle saisit quelques mèches de cheveux blonds, les relève et applique un gros suçon sur la nuque dégagée. Soudain déchaînée, elle soulève son amante à bout de bras et l'aplatit face au mur en arrière du lit, avant de la fourrer de nouveau de son poing. la bouche sur le verre d'un cadre, Clémence grésille comme une ampoule en bout de course, râle, puis s'affaisse doucement sur les oreillers."
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