Trouvé sur internet ces trois œuvres pyschadéliques numérisées. L'effet obtenu est intéressant. Je n'en connaîs pas le ou les auteurs.
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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Trouvé sur internet ces trois œuvres pyschadéliques numérisées. L'effet obtenu est intéressant. Je n'en connaîs pas le ou les auteurs.
"Biblio Paradiso", le titre de mon article fait bien sûr référence au film "Cinéma Paradiso" (film italien de 1988, réalisé par Giusseppe Tornatore) et plus particulièrement à la scène finale où le cinéaste interprété par Jacques Perrin visionne toutes les chutes de films accumulées pendant des années et montées par le projectionniste du cinéma qui vient de décéder dans l'incendie de son cinéma (personnage interprété par Philippe Noiret). Ces chutes ne sont constituées que de scènes de baiser interdites par la censure fasciste et donc coupées par le projectionniste avant la projection. La séquence est très émouvante.
Toutes proportions gardées, mes articles regroupés sous la rubrique "Lectures X" procèdent du même projet. Evidemment, il n'est pas question ici de censure, mais mon but est de proposer aux lecteurs, pour chaque roman, un extrait qui parle de sexe, de constituer "une petite anthologie des scènes de cul" de ma bibliothèque personnelle. À ce jour, j'en suis à plus de 400 extraits...
Second triptyque de photos d'Atsuko, de nouveau légendées par son mari-photographe.
Photo n° 4
Un regard de biche, un visage angélique, des petits seins de rêve. Bref, toute la douceur et le charme japonais...
Photo n° 5
La belle et impudique Nipponne faisant admirer son intimité
Photo n° 6
L'Origine du monde capturée par le photographe et mari de cette ravissante native du "Pays du Soleil-Levant"
Voyage vers le "Pays du Soleil Levant" en compagnie de Atsuko dont le mari nous offre trois photos commentées
photo n° 1
Une ravissante Japonaise à quatre pattes sur un sofa ( qui a connu de nombreux accouplements !) arborant un sourire coquin, heureuse de faire admirer à son mari sa plastique, et tout particulièrement sa croupe.
photo n° 2
Atsuko allongée sur le dos, les jambes en l'air, dans une pose destinée à donner envie à son mari photographe, de lui prouver, ô combien, elle est désirable.
photo n° 3
Atsuko, impassible, vêtue exclusivement de rouge à lèvres et d'un bronzage intégral, faisant admirer ses petits seins aux tétons sensibles et érectiles, sa toison bien rafraîchie et ses petits pieds qui devraient ravir les amateurs de petons à sucer et à lécher.
"L'amante religieuse" Ne vous méprenez pas, il ne s'agit pas d'une faute d'orthographe. Le jeu de mots – pauvre, je l'admets volontiers – m'est venu spontanément à l'esprit en contemplant le tableau de Pierre Bonnaud (1865-1930) intitulé "Salomé" et peint vers 1900.
Certes, si l'on s'en réfère strictement au texte de la Bible, Salomé n'était pas l'amante de Jean-Baptiste dont elle avait, au sens propre, réclamé la tête au roi. Mais P. Bonnaud a tellement érotisé la scène (quasi nudité de Salomé, cuisses légèrement écartées...) que la relation entre Salomé et sa victime devient très ambiguë. Alors, j'ai pensé au rituel macabre de la mante religieuse qui, pendant l'accouplement, décapite le mâle afin d'accroître sa puissance sexuelle.
Le tableau de Pierre Bonnaud
Une version contemporaine de la légende
Voir ici l'article de Wikipedia Salomé
En attendant la réouverture — prochaine ? — des salles obscures, je vous offre en 4 images un flash-back nostalgique dans les cinémas pornos des années 70-80, ces années pas si lointaines et pourtant déjà oubliées où le spectacle de nos fantasmes et de nos désirs était autant dans la salle que sur l'écran. (le premier dessin est l'œuvre de Guido Buzzelli)
En attendant la réouverture des musées, je me plais à imaginer une exposition pour moi seul, respectant scrupuleusement la distanciation sociale... Comme sur cette ancienne pub pour les verres Varilux
Camille Alexander est la chanteuse guitariste du groupe A VOID.
En solo, à la guitare sèche : Oh
En live, seule sur scène : Éclatée
Le groupe A VOID sur scène : Awkward and devastated
Mais Camille Alexander est aussi connue pour sa beauté sauvage et naturelle...
Graffiti ou street art ?
Retrouvé dans mes archives cette photo vieille de quelques années. Je me posais la question de savoir si le dessin sur le mur s'apparentait aux innombrables graffitis obscènes qui ornent les toilettes publiques et les cabines d'ascenseur ou s'il pouvait accéder au statut de fresque murale et relevait donc de l'art... Qu'en pensez-vous ?
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