Nouvelle exposition photo à la Galerie Christophe Gaillard
Rappel : Galerie Christophe Gaillard
5 Rue Chapon
75003 PARIS
Allez-y, cela doit valoir le coup !
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Nouvelle exposition photo à la Galerie Christophe Gaillard
Rappel : Galerie Christophe Gaillard
5 Rue Chapon
75003 PARIS
Allez-y, cela doit valoir le coup !
Lu dans le Canard Enchaîné n° 5057 paru mercredi dernier un court article consacré à la négligence de Netflix dans un épisode de la série "Maya l'abeille" diffusé aux USA.
Voici le "nœud" de l'affaire : dans l'épisode 35 de la première série, un détail gênant a échappé au diffuseur. À 5 minutes 14 secondes exactement, un pénis apparaît dessiné sur l'écorce d'un arbre qui fait partie du décor. Ce dessin reste à l'écran pendant près d'une minute. Alerté par des parents indignés, Netflix a supprimé l'épisode 35 de la première saison de la série !
C'est la rentrée des classes, l'occasion pour des milliers de collégiens et de lycéens de fantasmer sur leurs nouvelles profs. Et l'avantage avec les fantasmes, c'est que tout est permis, qu'il n'a plus ni interdits, ni obstacles aux désirs !
Pendant tout l'été, la courgette s'est invitée à notre table. Qu'elle soit cusinée en ratatouille, en gratin, grillée à la plancha ou tout simplmement râpée crue et consommée comme une crudité, la courgette ne manque pas de charme !
Lors de mes passages au supermarché, il m'arrive de traîner au rayon fruits et légumes pour observer le comportement des femmes devant l'étalage des courgettes vendues en vrac. J'aime à voir le soin que mettent certaines d'entre elles à choisir leur achat, comment elles en évaluent la taille, la forme et la texture... Si ce sont des femmes seules, plutôt matures, et qu'elle ne prennent qu'un seul légume, je ne peux m'empêcher d'imaginer l'usage qu'elles destinent au légume : sa forme oblongue, le renflement de son extrémité, la douceur de sa peau... La courgette semble avoir été conçue pour le plaisir des femmes. Celles qui ont la chance de posséder un potager pourront les laisser grossir afin d'en choisir librement la taille et le calibre, en fonction de leurs envies...
Pour terminer, une petite recette sympa. Dans le jardin ou au marché, prenez de toutes petites courgettes (de 15 cm environ) À l'aide d'un économe, pelez-les en bandes alternées de façon à obternir un légume bicolore, vert foncé et vert pâle. Blanchissez-les 2 minutes dans l'eau bouillante et passez-les sous l'eau froide. Une fois refroidies, coupez-les en deux dans le sens de la longueur. Sur la partie tranchée, étalez de la mayonnaise et ajoutez-y un ou deux filets d'anchois. Mettez au réfrigérateur pendant une ou deux heures et consommez ça en apéro ou en entrée. C'est divin !
Juillet-août, c'est l'occasion de se déconnecter de la routine quotidienne en se plongeant dans la lecture du "roman de l'été". Il fait chaud, on se met à l'aise et le voyage peut commencer ! Dépaysement, rêve, évasion, fantasmes érotiques et destinées...
" C'est l'amour à la plage... " Vous vous souvenez sans doute des paroles de ce tube de Niagara qui enchanta un de nos lointains étés. Je souhaite à tous ceux d'entre vous qui auront le loisir de goûter aux plaisirs balnéaires de rencontrer l'amour à la plage...
Voilà bien une saine activité quotidienne : se branler. À la main ou avec accessoire, c'est un plaisir sans cesse renouvelé, universel et intemporel...
La visite médicale, la consultation chez le médecin, les soins à domicile ou à l'hôpital de l'infirmière, constituent le socle d'un corpus de fantasmes érotiques largement partagés. Cela me rappelle une sérieuse déconvenue qui m'advint alors que j'avais une trentaine d'années. Comme j'avais quelques problèmes de boutons récurrents et tenaces aux fesses, mon copain généraliste m'avait dirigé vers un dermatologue. Le spécialiste en question était une femme d'une quarantaine d'années à la réputation sulfureuse (on lui prêtait beaucoup d'amants) et qui venait de divorcer quelques mois auparavant. Je ne sais pourquoi mais je m'étais monté tout un film sur ce rendez-vous, imaginant une consultation très chaude, virant à la partie de cul endiablée. Le jour venu, je m'étais présenté, super bien sapé, parfumé, nickel de la tête aux pieds, la queue en alerte. Une fois dans son cabinet, la dermato en blouse blanche m'a reçu, m'a fait déshabiller, a inspecté et touché professionnellement mes fesses, sans prêter la moindre attention à ma bite en semi-érection puis m'a ordonné de me rhabiller. Pendant qu'elle rédigeait l'ordonnance tout en me donnant son diagnostic - dont je ne garde aucun souvenir - je la regardais, ou plus excatement, j'observais son visage avenant, ses mains fines et surtout je tentais de m'imaginer ses sous-vêtements forcément très sexy sous sa blouse blanche. Le temps de signer mon chèque et je me retrouvais dans la rue, seul avec mes fanstasmes et ma queue basse...
Derniers Commentaires