Mets incontournable des repas de fin d'année, les huîtres ont la réputation d'être aphrodisiaques. À première vue, ce n'est pas évident, mais à y regarder de plus près...
... alors, bon appétit !
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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Mets incontournable des repas de fin d'année, les huîtres ont la réputation d'être aphrodisiaques. À première vue, ce n'est pas évident, mais à y regarder de plus près...
... alors, bon appétit !
"Le pénis, pour quoi faire ?" . Sous ce titre provocateur, le journal Le Monde dans sa Matinale du 27 octobre s'intéresse au rôle du pénis dans la sexualité féminine. Le Canard Enchaîné n° 5113 du mercredi 31 octobre rapporte quelques extraits de l'article du quotidien du soir.
"Le membre viril comme instrument pénétrant est irremplaçable, mais il ne l'est pas comme instrument de plaisir". Il existe en effet des "alternatives pour
la pénétration", comme le bon vieux "gode ceinture" mais dont l"usage n'est pas très aisé. Il faudrait, explique la chroniqueuse du Monde, "pouvoir porter des
godemichés comme on enfile une paire de chaussettes". On peut s'intéresser aussi aux godemichés "aspirationnels"(sic) à l'avenir prometteur, sans oublier les concombres
! Finalement la chroniqueuse porte son choix sur les godes "flexibles" car ils sont "bien moins intimidants pour la pénétration anale" avant d'avouer que, tout
compte fait, le pénis lui paraît indépassable.
Trouvé dans le Canard Enchaîné n° 5110 du mercredi 10 octobre cet article dont je ne résiste pas au plaisir de vous donner copie intégrale tant il est révélateur de notre aveuglement face au discours scientifique.
Étonnant non ? comme l'aurait dit Desproges. Et aussi très instructif sur notre manque d'esprit critique !
Après les réjouissances de la Toussaint, voici venu le jour d'honorer nos morts... chacun(e) à sa façon !
Le magazine "Amina" de septembre a consacré un article aux milliers de femmes ougandaises qui, suivant l'exemple des femmes athéniennes de la pièce d'Aristophane Lysistrata, ont entamé "une grève du sexe" pour punir "les maris paresseux, dépensiers et irresponsables". Cette initiative qui n'était au départ qu'une blague a connu un réel succès. Sauf que la suite s'éloigne sensiblement de la pièce de l'antiquité : en effet, certaines épouses exigent désormais, si leur mari refuse de changer de comportement, d'être payées pour tout rapport sexuel.
(les deux choses qui gouvernent le monde en une seule image)
Le Canard Enchaîné de ce mercredi 3 octobre a rendu hommage à Pétillon, tout récemment décédé, qui collabora de nombreuses années au journal. Pour ce faire, il nous a offert quelques dessins à l'humour mordant. Je vous en ai sélectionné deux qui avaient pour cible les positions conservatrices ou involontairement humoristiques de l'Eglise.
Dans un article du mois de juin, vous aviez déjà eu le privilège de découvrir les seins et le sexe de Sun-Hi, la compagne de Stéphane. La contribution de Stéphane # 4
Cette fois, Stéphane m'a confié une photo très intimiste à laquelle j'ai ajouté un texte que voici.
AURORE
Le jour naissant répand dans la chambre des flots de lumière tamisée. Le corps nu sous le drap à peine froissé, elle est encore profondément endormie. Il est réveillé, en proie à une puissante érection. Il la regarde, il la désire intensément mais ne veut pas la réveiller. Elle est si belle dans son sommeil ! Il sait qu'il lui suffirait, pour briser le charme, de soulever un peu le drap ou de poser une main même légère sur son sein au mamelon durci par les rêves de la nuit. Aussi, il se contente de contempler son visage, de regarder son oreille où il aime murmurer des mots obscènes qui la font mouiller, ses cheveux noirs où il aime glisser ses doigts pour en sublimer le parfum, sa bouche surtout où il aime poser ses lèvres et enfoncer sa bite pour qu'elle le suce jusqu'à l'éjaculation libératrice. Et plus il la regarde dormir, plus il la désire et bande, plus son érection se fait irrésistible.
Alors, dans la douceur du
petit jour, avec lenteur, comme au ralenti, il s'agenouille sur le lit, son membre raide à l'aplomb du visage de sa compagne endormie. Puis, sans la quitter des yeux, il se branle en silence.
Peut-être que dans son sommeil, elle a ressenti la puissance de son désir car ses joues s'empourprent et ses lèvres esquissent un imperceptible sourire.
La jouissance n'est pas longue à venir : quatre giclées de foutre matinal, épais et chaud, qui engluent sa chevelure et zèbrent sa joue en feu. Mais elle garde les yeux clos ; elle est heureuse...
Lecteur fidèle du Canard Enchaîné, je vous ai sélectionné, dans les deux derniers numéros du mois d'août, cinq dessins humoristiques liés à l'actualité récente. Ces dessins, aussi instructifs et mordants que des articles, ne m'ont pas fait que sourire. Ils mettent le doigt avec pertinence sur de réels problèmes de société.
Je vous retranscris dans son intégralité l'article intitulé "Clito ma non troppo" paru à la une du Canard Enchaîné n° 5102 du mercredi 8 août 2018.
Ça titille ou ça frétille ? Sous le titre digne d'un quotidien financier, "Le
business de l'orgasme", le magazine "Elle" du 27/7 annonce la bonne nouvelle à celles qui n'auraient encore rien prévu pour leurs vacances :" Stages, retraites, ateliers se
multiplient pour apprendre aux femmes à jouir en pleine conscience." À vos clitoris et en route pour la "méditation orgasmique" ("Orgasmic Meditation" en anglais, siglé
"OM"), un truc détox consistant à "faire caresser ce point névralgique pendant quinze minutes par un(e) partenaire habilité(e) et muni(e) d'un gant chirurgical pour l'hygiène, sous la
direction d'un coach". Comme on dit à Marseille, allez l'OM !
Aux États- Unis, la société Once Task propose, en outre, des séances de "bénédiction de l'utérus (sic)" à l'aide de "sextoys intelligents". Constat extatique du magazine :" Le plaisir féminin est devenu capitalisme comme les autres." Celles qui n'ont pas de dollars à perdre pourront toujours réécouter "Les nuits d'une demoiselle" chantées en 1963 par la piquante Colette Renard. Cette dernière y expliquait comment se faire "reluire le berlingot", "chatouiller le bijou" ou "bricoler la cliquette".
C'est français, gratuit et ça s'écoute sans gant chirurgical.
La fin des vacances approche. Il est grand temps de prendre les dernières photos pour se constituer un album souvenir des meilleurs moments. Ce sera l'ultime volet de la série "Spécial été" 2018 !
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