Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Dans un article du mois de juin, vous aviez déjà eu le privilège de découvrir les seins et le sexe de Sun-Hi, la compagne de Stéphane. La contribution de Stéphane # 4
Cette fois, Stéphane m'a confié une photo très intimiste à laquelle j'ai ajouté un texte que voici.
AURORE
Le jour naissant répand dans la chambre des flots de lumière tamisée. Le corps nu sous le drap à peine froissé, elle est encore profondément endormie. Il est réveillé, en proie à une puissante érection. Il la regarde, il la désire intensément mais ne veut pas la réveiller. Elle est si belle dans son sommeil ! Il sait qu'il lui suffirait, pour briser le charme, de soulever un peu le drap ou de poser une main même légère sur son sein au mamelon durci par les rêves de la nuit. Aussi, il se contente de contempler son visage, de regarder son oreille où il aime murmurer des mots obscènes qui la font mouiller, ses cheveux noirs où il aime glisser ses doigts pour en sublimer le parfum, sa bouche surtout où il aime poser ses lèvres et enfoncer sa bite pour qu'elle le suce jusqu'à l'éjaculation libératrice. Et plus il la regarde dormir, plus il la désire et bande, plus son érection se fait irrésistible.
Alors, dans la douceur du petit jour, avec lenteur, comme au ralenti, il s'agenouille sur le lit, son membre raide à l'aplomb du visage de sa compagne endormie. Puis, sans la quitter des yeux, il se branle en silence. Peut-être que dans son sommeil, elle a ressenti la puissance de son désir car ses joues s'empourprent et ses lèvres esquissent un imperceptible sourire.
La jouissance n'est pas longue à venir : quatre giclées de foutre matinal, épais et chaud, qui engluent sa chevelure et zèbrent sa joue en feu. Mais elle garde les yeux clos ; elle est heureuse...
Si vous voulez pouvoir admirer Sun-Hi des pieds, qu’elle a magnifiques, à la tête en passant par ses seins, son sexe tantôt indécent tantôt pénétré ainsi que son très étroit anus également visité je vous invite à parcourir le site en arrière jusqu’aux chapitres contribution de Stephane #1, #2, #3 et #4... Peut être pourriez vous par la pensée la prendre, la posséder, en disposer à votre guise, vous répendre en elle, et je ne serais pas contre avoir un court contre rendu de vos ébats avec ma femme....
J'ai récemment écrit mon interprétation personnelle de ce même thème du réveil matinal, plus platonique, certes. Si vous n'y voyez pas d'inconvénient, je la partage ici avec vous et tous ceux qui passeront ici (la chanson du début est de Goldman, bien sûr !) :
« Six planètes en plus de notre Terre,
Six continents dans cinq océans,
Douze mois pour une année entière,
Cinq milliards de gens et tellement d’absents.
Huit et un mois pour une grossesse,
Douze apôtres et dix commandements,
Quatre et deux piliers d’une sagesse,
Et quelque part, sûrement, quelqu’un qui m’attend.
Trente-six justes, autant de chandelles,
Dans cinq cents millions de galaxies,
Trois Glorieuses mais sept merveilles,
Quatre saisons plus belles après Vivaldi.
Cinq sens et sept plaies d’Égypte,
Trois dimensions, quatre vérités,
Vingt et quatre livres, une Bible,
Et quelque part, sûrement, quelqu’un à aimer…
Je me fous bien des Trois Mousquetaires !
De mes quatre ou cinq litres de sang !
Et je ferai plus de cent ans de guerre
Pour être à elle à deux cents pour cent !
Dix jours à Pékin, trois sifflets d’un train,
Trois types de rencontre et sept nains,
Sept samouraïs et cent-un dalmatiens,
Et quelque part, sûrement, rien qu’à moi, quelqu’un… »
Le regard amoureux sur Morgane endormie, à voix basse, bis repetita :
« Rien qu’à moi, quelqu’un… »
Soudain, un remuement, un soupir alangui : elle s’éveille. La voix ensommeillée :
« Qu’est-ce que tu dis, mon Rominet ? »
– Rien, rien ! »
Timide balbutiement. Le silence, un instant, elle s’étire…
Soudain, un murmure à son oreille, un souffle, un sourire.
« Je t’aime, tu sais. »