Rappel : Le candaulisme est une pratique sexuelle dans laquelle l'homme ressent une excitation en exposant sa compagne ou une image de celle-ci à d'autres hommes. Par extension, on parle aussi de candaulisme lorsque des rapports sexuels ont lieu entre une femme et un ou plusieurs hommes, devant le regard consentant et demandeur du partenaire exclusif de celle-ci. Le candaulisme est toujours motivé par un fantasme (avoué ou caché) commun aux deux partenaires. Quand il est réalisé, ce fantasme assouvi procure un des plus grands plaisirs pour l’homme et la femme.

Voici donc une première série d'images mettant en scène des situations de candaulisme

Malgré sa qualité médiocre, la photo ci-dessus est très émouvante : le mari déjà âgé offre sa jeune femme à l'inconnu, jeune lui aussi. Le corps nu de son épouse est comme le prolongement du sien si bien qu'il peut ressentir presque physiquement le plaisir qu'elle éprouve et qu'on devine qu'il ne peut plus lui donner, si bien qu'à travers le sexe de cet inconnu, il lui donne une jouissance par procuration.

Variante avec le mari juste spectateur passif

Présentation du "cadeau"

Plaisir du voyeur, entre désir et frustration

Pour le mari aussi le spectacle de sa femme pénétrée est fascinant

Notez que le préservatif souligne bien le côté unique et sans lendemain de cette relation... L'inconnu n'est qu'objet de plaisir, rien de plus, une sorte de sextoy vivant

Second volet de la galerie consacrée au thème de l'atelier.

Depuis hier, j'ai ouvert un nouveau lien vers le blog de Denis, illustrateur érotique. Je vous invite à aller visiter son blog et si vous ne le connaissiez pas encore, je vous propose ici quelques échantillons de son talent, très éclectique, afin de vous mettre en appétit.

On s'attend à quelque chose d'extraordnaire et bien, non ! Rien que l'application à la lettre de l'égalité : Superman = super queue... Un peu décevant quand même, on reste sur notre faim !

Et en plus, sur la dernière image, il n'a pas l'air content !!!

"Dans notre socité, on n'achète la liberté que par l'esclavage, et il faut commencer par être servante pour devenir sa maîtresse un jour." (Jean-Jacques ROUSSEAU, Julie ou la Nouvelle Héloïse, 1761)