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Je suis depuis quelque temps à la recherche de l'auteur de ces dessins. La signature en est illisible : le prénom commencerait par un J ; quant au nom, il semblerait qu'il débuterait par Li... pour se terminer par un Y, mais rien n'est moins sûr. Si l'un d'entre vous pouvait me fournir cette information, je lui en serais très reconnaissant.
Ceci étant dit, ces illustrations sont assez fascinantes : sexes hypertrophiés, fétichisme pileux et vestimentaire... Il y a quelque chose de bestial dans ces accouplements, dans ces orgasmes tout en secrétions vaginales et sperme en geyser...
Wei-Dong est né en 1968 en Chine, plus précisément en Mongolie intérieure. Après des études à l'académie des Beaux-Arts de Pékin, il expose pour la première fois en 1989. Son art iconoclaste le contraint à l'émigration vers les USA en 1999.
Les tableaux de Wei-Dong (pour l'essentiel peinture et collage) sont un savoureux mélange de paysages traditionnels et d'imagerie révolutionnaire de l'époque maoïste, avec l'érotisme en plus...
Vou souhaitez plus d'info ? Allez voir le commentaire pour un lien vidéo sur le travail de Wei-Dong
Sous le pseudonyme de Erich von Götha, se cache Robin Ray, dessinateur anglais né à Londres en 1924. L'album "Family feelings", maladroitement traduit en français par "Le sentiment de la famille" (adaptation d'un texte inédit de Pierre Louÿs) date de 1996. Toutes les scènes qui ont pour cadre un théâtre en rut sont jubilatoires et d'une tonique obscénité.

-Viens,
mon petit ! Je serai tout à fait obscène
- Ah, je suis trop dur, je vais jouir !
- Ils disent que s'il n'a pas une bite dans le cul, il ne peut pas
bander.
- Merde ! Quelle belle touffe !
- Tu sais, elle m'a donné une pièce pour me bouffer le con.
- Tu peux y mettre la main si tu veux, mais fais attention avec tes
ongles.
Pour terminer, deux autres images de théâtre "vivant", extraites d'une autre histoire...
Aujourd'hui, ouverture d'un nouvel album entièrement composé d'illustrations de Georges Pichard (1920-2003), le génial père de Paulette et autres créatures tout aussi aguichantes... Quelques images pour vous mettre en appétit.
Nouvelle étape dans le parcours de l'oeuvre de Jean-jacques LEQUEU
"sauvage, d'après nature".Approche de la femme "par l'arrière", si j'ose dire.
Le savonnage du linge ( scène toute simple de la vie quotidienne toujours étonnante de la part de Lequeu )
En ce jour de fête mariale, je vous propose une galerie de Vierges avec enfant.
Dès mon enfance, lorsque je me trouvais à l'église devant une statue de la Vierge, puis plus tard dans un musée face à un tableau de maître, j'étais troublé par l'érotisme qui émanait de ces représentations. Pour moi, de toute évidence, Marie était avant tout une femme, c'est à dire un être sexué et désirant. Donc désirable !
Des dizaines d'années plus tard, ces pensées sont toujours là. Regardez donc les oeuvres qui vont suivre avec mes yeux d'enfant puis d'adolescent et peut-être, vous aussi, vous ressentirez leur puissante sensualité.
oeuvres 1 et 2 : De face cette vierge à l'enfant gothique paraît sage et innocente, mais de profil, son visage est beaucoup plus émouvant.
oeuvre 3 : "Vierge aux deux anges" de Lippi. Sa fausse indifférence laisse rêveur.
oeuvre 4 : autoportrait de Cindy Sherman en Vierge donnant le sein
oeuvre 5 : Rogier van der Weyden : " Saint-Luc peignant le portrait de la Vierge". Verra-t-il son sein blanc et ses paupières trop pudiquement closes ?
oeuvre 6 : Célèbre tableau de Bellini. Le geste de préhension de la main de Marie a été maintes fois évoqué et commenté. Une des représentations de la Vierge les plus ouvertement sexuelles.
oeuvre 7 : Max Ernst : Marie donnant la fessée au petit Jésus. Jubilatoire !
oeuvre 8 : "La vierge aux anges". C'est le pied de Marie dépassant de sa robe qui est le plus intéressant et troublant.
oeuvre 9 : tout est dans les yeux et les lèvres...
oeuvre 10 : Fouquet a donné à la Vierge les traits d'Agnès Sorel, la maîtresse du roi. Le sein est d'une blanche perfection, pas très catholique.
oeuvre 11 : Observez la grâce des deux doigts filiformes qui tiennent le téton et le petit Jésus qui prend son pied, les orteils en éventail.
oeuvre 12 : Tableau de Pierre Mignard. Je ne peux détourner mes yeux du symbole sexuel de la grappe de raisin qu'elle soupèse délicatement comme des testicules.
oeuvre 13 : "Vierge allaitant" par Hemessen. Ce petit Jésus me paraît déjà bien âgé, les regards et les chairs bien mûrs, tout comme les grappes de raisin qui les entourent
oeuvre 14 : " Vierge au lapin". Là, c'est le must du fantasme, quand on sait qu'autrefois, le sexe de la femme était désigné par le mot "connil" qui au sens propre signifiait "lapin"( d'où les mots "con" et "cunnilingus" )
oeuvre 15 : Enlacement, prémisses d'un éventuel inceste ? Tout cela est très ambigu
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