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Compte-tenu de la féminité du personnage, je m'attendais, sans doute naïvement, à trouver une multitude de détournements des aventures de Bécassine. Erreur ! Mes recherches ont été le plus souvent infructueuses et les rares pastiches disponibles sur le net restent très sages... Je lance donc un appel, pas désespéré quand même, à toutes les bonnes volontés pour enrichir cette maigre galerie. ( je sais par ailleurs qu'il existe un album parodique intitulé "Le petit monde de Pétassine", paru en 1992, mais je ne l'ai jamais eu en ma possession et ne peux donc vous en parler davantage.)
Age nubile. les deux lèvres du con relevées pour voir le creux virginal des parties génitales en action...
Ah ! Elle s'écoute.
Hier, je vous parlais de mon admiration pour l'oeuvre quasiment inépuisable de Tom Poulton. Voici le septième volet consacré à ses dessins. Comme d'habitude, Poulton ne s'embarrasse guère du décor (le plus souvent un accessoire suffit pour suggérer l'environnement de la situation érotique). Les personnages n'ont qu'une pensée : le sexe ! Et rien ne semble pouvoir les détourner de cet objectif, de cette raison d'être... Voyage en 20 images dans cet univers absolument fascinant.
Jean-Jacques Lequeu, né le 14 spetembre 1757 à Rouen et mort le28 mars 1826 à Paris , est un architecte et dessinateur français.
Jean-Jacques Lequeu est plutôt un visionnaire qu’un architecte. À part deux « folies » aux environs de sa ville
natale, il n’a rien construit. Tout le reste de son œuvre architecturale consiste dans des dessins de bâtiments souvent inconstructibles. Le reste de son œuvre picturale, tels ses autoportraits
en travesti, appartient au fantasme et a constitué une inspiration pour le surréalisme qui a vu en lui un précurseur. On
ne sait pas grand-chose de sa vie. On sait qu’il a travaillé dans sa ville natale avec l’architecte Le Brument.
Il a été architecte de l'Académie Royale de Sciences, Belles Lettres et Beaux Arts. Il a reçu deux prix de l'Académie de Rouen en 1777 et 1778. En 1779, il travaille comme dessinateur ou inspecteur au bureau des bâtiments de l'Eglise
Sainte-Geneviève. En 1793, il est employé au bureau du Cadastre. En 1802, il travaille au bureau des bâtiments civils du ministère de l’Intérieur. En juillet 1825, il donne
l’ensemble de ses dessins et manuscrits à la Bibliothèque Royale.
Mais s’il est passé à la postérité, c’est surtout pour son œuvre érotique, consacrée en partie au sexe féminin, dans ses plus intimes détails. Ses dessins étaient presque toujours accompagnés de légendes et commentaires dénués de toute objectivité scientifique (par exemple : « L’infâme Vénus couchée. Posture lubrique d’après nature. Son visage est en feu, ses tétons ronds et séparés… Les parties ouvertes de désir ardent. »)
Si vous le pouvez, je vous encourage vivement à prendre le temps de déchiffrer et savourer ces légendes qui valent leur pesant d’érotisme graveleux )
Voici le premier d’une série d’articles qui seront consacrés à Jean-Jacques Lequeu dont je considère l’ensemble de l’œuvre comme essentielle et indispensable. ( au même titre que Tom Poulton, il a su explorer les tréfonds du désir). Chaque article contiendra 4 dessins illustrant les différentes facettes de l’art de J.J Lequeu : un croquis anatomique, un croquis d’architecture, un portrait, une scène de genre… J’ai opté pour cette présentation, pour bien montrer la cohérence de l’ensemble de l’œuvre.
Projet de porte monumentale de parc
"Jeune con dans une attitude des conjonctions de Vénus ( Au dessus : Motte ; partie de chair qui doit être couverte d'un poil noir et long,
de vers le nombril jusqu'au coccis, bien ombragé; et qui à force d'attouchements lascifs, à force de frotter avec l'index, les femmes jouissent ainsi que nous."
On poursuit l'exploration de la vie amoureuse de nos héros de B.D. Avec Astérix, rien de surprenant, sauf peut-être les prouesses du vénérable Panoramix. Mais avec la potion magique tout devient possible !
Les femmes d'Henderson sont plantureuses : grosse poitrine, fessier généreux, touffe drue... Et des regards à damner tous les saints !
Impossible de trouver sur le net des informations sur Henderson. Je fais donc appel à votre savoir pour combler ce manque de renseignements. D'avance merci.
Et voici ce que m'a communiqué Laurent que je remercie ici sincèrement :
"Phil HENDERSON
PourunPeu
Plantureuses effectivement les femmes de Phil ou Fhil Henderson. Quelques liens
http://www.nbmpub.com/eurotica/ehenderson/hendersonhome.html
http://en.wikipedia.org/wiki/Phil_Henderson
En guise de contribution à votre blog.
Cordialement
Laurent."
Commençons par l'original, réalisé en 1960. Ce triple autoportrait est plus que célèbre.
Son pastiche est certes moins connu mais, avouez-le, beaucoup plus sexy
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