Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Lu dans le journal local : "Une femme va rendre visite à son frère qu'elle n'a pas vu depuis 25 ans. Le soir, il
l'invite à dormir chez lui dans la chambre d'ami. Pendant la nuit, le frère retrouvé pénètre dans la chambre de sa soeur endormie et, sous la menace de son berger, il la
viole."
Dans les chroniques d'Alexandre Vialatte ceci : " Melville raconte qu'il habitait une maison d'où il voyait, sur la montagne, une autre maison, lointaine, où semblait
habiter le bonheur. Il y alla et, de ce point élevé, il vit la sienne à l'horizon. Et ce fut la sienne, à ce moment-là, qui lui fit la même impression.
Le bonheur n'est jamais qu'en face. "
à Carteret.
À Carteret elle était
nue
Nos deux enfants en habit de soleil
Loin des vagues, proche des rêves
Traçaient d'étranges mots
De simple brume
vêtue
De leurs pas sans sommeil
Que le vent dissipait sans
trêve
Sur la marge des flots
Un ressac martelait la
falaise
À Carteret, elle rêvait nue
Comme le sang ses
hanches
D'une vague silence
Pâles où luisait la
braise
Dont sa main retenue
Dans l'ombre de sa peau
blanche
Brisait la morne danse.
"Elle était comme une noix : dure, sèche et lourde à digérer. Je préfère les oranges"
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