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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Gisèle est institutrice dans une petite ville de province. À plus de 35 ans, elle est encore célibataire et sous l'emprise d'une mère possessive. Dans la
nouvelle, elle se décide enfin à rencontrer un homme : ce sera le patron du garage qui a réparé sa voiture en panne. Si l'homme pense dans un premier temps qu'il a touché le
jackpot, on verra à la fin de cette histoire que tomber entre les griffes de Gisèle peut être fatal. Dans le passage qui suit, elle évoque son inittiation à l'art de la masturbation
:
" À vingt-deux ans, Gisèle perdit enfin sa virginité à
l'aide d'une petite courgette du jardin, encore chaude du soleil d'août. Ensuite, au fil des années, elle avait tout essayé : les bananes, les carottes, les courgettes encore mais de plus en plus
grosses, les concombres, les aubergines - très agréable, les aubergines !- et même les épis de maïs et les pieds de poireau, surtout la varité appelée "monstrueux de Carentan" ! Mais aussi, en
cas d'urgence, les petites bouteilles de Coca, les flacons de shampoing, les goulots de bouteilles de vin, enfin tout ce qui ressemblait de près ou de loin à une
bite..."
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