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Si Sexus est le plus connu des ouvrages d'Henry Miller, Tropique du Capricorne est à mes yeux le plus érotique de
ses livres. Paru en France aux Editions du Chêne en 1946, c'est un vrai chef d'oeuvre. Je crois que sa lecture ne peut laisser indifférent, ni homme ni femme : toutes les situations décrites
sont ancrées dans le quotidien. Chacun peut se reconnaître ou s'identifier à un des protagonistes de ces aventures sexuelles. Comme dans la scène suivante où le narrateur ( Henry Miller
lui-même ?) se trouve en présence d'une femme, une certaine Madame Costello, qui prétend ne pouvoir avoir de rapports amoureux car elle est trop étroite. Voici donc le narrateur à l'ouvrage
:
" Peu à peu, très doucement, sans
rien brusquer, ma main remonta le long de sa jambe pendant que je continuais à lui parler d'une voix basse et calmante. Quand mes doigts atteignirent la fente entre ses jambes, et
séparèrent les petites lèvres, elle était aussi moite qu'une lavette à vaisselle. Je la massai doucement, élargissant de plus en plus l'ouverture et lui racontant toujours ma petite histoire
télépathique sur les femmes qui se trompent parfois sur leur vraie nature, sur la façon dont il arrive qu'elles se croient trop étroites quand elles sont en fait très normales ; et plus je
faisais durer le plaisir, plus le fruit devenait juteux et plus elle s'ouvrait. J'avais déjà introduit quatre doigts, qu'il y avait place encore pour d'autres si j'avais voulu. Elle
avait un con énorme et qui avait été dûment ramoné, je pouvais sentir cela. Je la regardai pour voir si elle fermait toujours les yeux. Elle avait la bouche ouverte et haletait un peu, mais elle
gardait les yeux obstinément clos comme si elle prétendait en elle-même que tout cela n'était qu'un rêve."
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