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Réédité en 1978 par Eurédif dans la collection " Aphrodite Classique",n° 25, Les Confessions d'un Cagot, sous-titrés "les
errements d'un enfant pervers, d'après les papiers de monsieur de la ville aumonier des galères (1720)" raconte les mésaventures d'un jeune homme, membre malgré lui de la communauté
des cagots. La préface de l'ouvrage présente ainsi les cagots : " Au début du 18ème siècle, on accusait les cagots d'avoir la lèpre mais, en général, ils étaient surtout les descendants
d'hérétiques divers. Cagots en Gascogne, ils étaient appelés colliberts dans le Maine, le Poitou et la Saintonge, caqueux ou caquins en Bretagne, marrons dans le Centre. Tenus à l'écart des
communautés urbaines, regroupés dans des "cagoteries", ils étaient obligés de porter une casaque rouge marquée d'une patte d'oie ou de canard. Ils n'étaient admis aux offices religieux que par
une porte basse et dans un coin réservé, ne pouvaient prendre l'eau bénite qu'au bout d'un bâton. Ils ne pouvaient exercer que les professions de bûcheron ou de charpentier. Dépendant civilement
et pénalement de l'Eglise, ils furent émancipés à la révolution de 1789."
Voici donc un extrait de l'ouvrage, pages 114-115 :
" - Mon petit Pierrot, viens m'enculer.
La Muller lui avait appris ce mot mais jusque-là, on s'en souvient, elle n'avait jamais voulu en venir à cette extrémité.
- Bonne idée, dit l'Allemande, et pendant ce temps je vais te gamahucher assise en dessous de toi entre tes jambes. mais d'abord, je vais
oindre le vit de Pierrot de salive.
Elle me suça donc, me mouillant abondamment, et je forçai le petit trou brun de Louison. Elle serra les dents sur la douleur que je lui causais
puis gémit de satisfaction et donna de furieux coups de reins lorsque son plaisir approcha.
- Va chercher ton simulacre, dit-elle à la Muller. Je veux que tu me l'imposes pareillement .
- Mais il est du double, la prévint la gouvernante.
- Ça ne fait rien. Je vais faire tête-bêche avec Pierrot. Et toi tu profiteras du moment où je serai en pâmoison pour me le mettre. Si ce M. de V...
croit me trouver intacte de ce côté-là, il aura une belle surprise.
Je me couchai sur le lit, ma verge tendue à craquer. Louison s'accroupit dans l'autre sens, ma tête entre ses belles jambes, me
donnant sa belle croupe à baiser et à lécher ce dont je ne me privais pas. Je l'huilai de douce salive tandis qu'elle gainait mon gland de sa bouche avide. Puis elle me présenta son
sexe dans lequel je fourrai profondément ma langue avant de lui sucer le bouton qui ne cessait de se développer et devenait aussi long que celui de la Muller. Il faut dire que ce petit
rejet de chair sensible ne restait jamais sans caresses ou lécheries. Il lui arrivait de connaître au moins dix frictions dans une journée, ce qui explique sa croissance continue.
Ainsi placé, je suivis l'opération que préparait la Muller tout excitée. Elle commença par se placer le godemiché dans son propre sexe, pour
l'en ressortir luisant de ses humeurs. Puis elle aussi lutina le petit anus de sa langue, l'enfonçant comme un sexe dont elle avait presque la grosseur. J'entends une verge normale. or le
godemiché avait des dimensions exagérées, et je craignais le pire pour ma jeune et talentueuse maîtresse.
Au comble de la rage amoureuse, Louison aspirait ma verge avec frénésie mais comme j'avais déjà grandement éjaculé dans ses entrailles, je
n'étais pas pressé de récidiver. Je pensais que le simulacre d'ivoire allait retrouver mon sperme et que cela faciliterait sa pénétration.
Au moment bien choisi par la Muller, le godemiché se présenta contre le muscle étroit. De mes mains, j'écartai les fesses
de Louison au maximum mais sans cesser de la faire jouir de ma bouche. Malgré le plaisir qu'elle ressentait, elle gémit lorsque la gouvernante la força peu à peu. Je vis avec surprise cet anneau
brun s'élargir autour du faux gland d'ivoire puis soudain happer entièrement celui-ci. Le simulacre se terminait par deux énormes testicules qui permettaient de le manier avec plus de
facilité.
La jeune fille se déchaîna alors, et ...."
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