Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Bien que peu sensible aux textes de Sade, je dois reconnaître que si je devais en garder un, ce serait
celui-là. En effet, le récit de Juliette paraît d'emblée plus spontané et plus "vivant" que les autres textes plus laborieux et parfois indigestes de Sade, je pense notamment aux "120 journées de
Sodome" ou même à "la philosophie dans le boudoir" dont la renommée me semble un peu surfaite, tant à cause de l'emphase un peu prétentieuse de la langue que de l'alternance
répétitive des discours moralisateurs et tableaux fornicatoires. Rien de tout cela chez Juliette... Certes il y a des horreurs, mais cela reste presque joyeux, bon enfant... On ne se
prend pas au sérieux.
De tous temps, l'oeuvre de Sade a inspiré les illustrateurs. Pour accompagner l'extrait que je vous ai sélectionné, j'ai choisi quelques images de la
bande dessinée de Philippe Cavell et Francis Leroi, intitulée "Juliette de Sade", parue en 1979 dans la collection Vertiges bulles ( éditions Dominique Leroy, Paris)
Le passage choisi est tiré de l'édition parue 10/18 n°446-447 parue en 1969, page 111.On y retrouve Juliette en compagnie de la supérieure Clairwill qui va l'initier au vice et
à la volupté. Il va de soi que tout cela se passe dans un couvent, haut lieu de fantasmes et de sexualité débridée, bien dans l'esprit 18ème où toute religieuse ne peut être qu'une tribade en
puissance.
" - Juliette, je t'adore, me dit Clairwill, faisons tout ce que tu voudras.
Et mon amie fut aussi nue que moi; dans l'instant, nous nous examinâmes d'abord plusieurs minutes en silence. Clairwill s'enflammait à la vue des
beautés que m'avait prodiguées la nature. Je ne me rassasiais pas d'admirer les siennes. jamais on ne vit une plus belle taille, jamais une gorge mieux soutenue... Ces fesses ! Ah Dieu ! C'était
le cul de la Vénus adorée des Grecs : je n'en vis jamais de coupées plus délicieusement je ne me lassais point de baiser tant de charmes, et mon amie, se prêtant d'abord avec complaisance, me
rendait ensuite au centuple toutes les caresses dont je l'accablais.
- Laisse-moi faire, me dit-elle enfin, après m'avoir couchée sur l'ottomane, les cuisses très ouvertes, laisse-moi te prouver, ma chère
bonne, que je sais donner du plaisir à une femme.
Deux se ses doigts alors travaillèrent mon clitoris et le trou de mon cul, pendant que sa langue, enfoncée très avant dans
mon con, pompait avidement le foutre qu'excitaient ses titillations. Je n'avais jamais,de ma vie, été branlée de cette manière ; je déchargeai trois fois de suite dans sa bouche avec de tels
transports, que je pensai m'en évanouir. Clairwill, avide de mon foutre, changea , pour la quatrième course, toutes ses manoeuvres avec autant de légèreté que d'adresse. Ce fut un de ses doigts
qu'elle enfonça cette fois-ci dans mon con, pendant qu'avec un autre, elle frétillait sur mon clitoris, et que sa langue douce et voluptueuse pénétrait au trou de mon cul...
- Que d'art... que de complaisance ! m'écriai-je... Ah ! Clairwill, tu me fais mourir !
Et de nouveaux jets de foutre furent le fruit des procédés divins de cette voluptueuse créature."
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