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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
En guise de présentation de l'extrait je vous livre la quatrième de couverture de la réédition de l'ouvrage parue en 1979 chez Lattès dans la colectio "Les classiques interdits" : "
Hugues Rebell ( 1867-1905), de son vrai nom Georges Grassal, mourut dans la misère après avoir dilapidé un fabuleux héritage. On lui doit de nombreuses études sur la flagellation, qu'il signait
parfois Jean de Villiot. La Nichina et Les Nuits chaudes du Cap français sont ses deux ouvrages les plus justement célèbres
Ces Nuits chaudes, qui ont pour cadre luxuriant l'île de Saint-Domingue avant l'abolition de l'esclavage, sont un cocktail de sado-masochisme et de lesbianisme noir et blanc,
dont la concupiscence haletante nous fascine d'autant mieux qe le style en demeure imperturbablement classique." Voici donc un passage pages 145 où la belle noire Zinga fait admirer sa
plastique .
" Vois donc si les blanches ont des nênets comme ceux-ci !
Elle ouvrait sa chemise et montrait ses seins, larges et rigides, puis, comme il avançait les lèvres, elle évita son baiser en riant. Elle n'avait plus envie
de partir. Vite, elle laissa couler candale et jupe ; vite la toile fine dont elle était enveloppée se roula, se froissa autour de ses épaules et de ses hanches, tomba à ses pieds, et elle
apparut comme une idole de bronze. Un instant, elle jouit de l'admiration de Dubousquens qui, devant cette superbe nudité, avait abandonné ses airs d'orgueil et d'insouciance et l'attirait, la
bouche avide, les yeux brillants ; mais bientôt l'idole s'anima ; le corps s'échappait, se lançait en des jeux sveltes et gracieux. Dubousquens tendait les mains ou les fermait sur le vide, il ne
pouvait la saisir ; Zinga courait dans la chambre, se glissait derrière les meubles, les jetait au devant de lui avec des rires gutturaux pareils au cancanage des jeunes aras. Et ses bonds, ses
détours, ses glissades, semblaient n'être qu'une malice voluptueuse pour projeter, faire saillir davantage les magnificences du sexe, que la gracilité de son buste rendait plus apparentes : cette
croupe vaste qui se tendait menaçante, ces seins énormes qui semblaient écraser sa poitrine. Enfin, il l'étreignit, mais, comme pour assurer sa défaite. Il l'avait prise à bras-le-corps sur
le canapé et elle semblait lutter avec lui, le fouler sous on ventre en rut, dans l'effort et sous la saccade de ses fesses majestueuses."
en illustration, une oeuvre de Clovis Trouille.
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