Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
10 janvier. Vu à Paris, sur un large trottoir près de la Place de l'hôtel de ville, en face du BHV, une grosse femme
noire, encore jeune, au fessier imposant, en jupe de cotonnade bariolée, à quatre pattes au-dessus d'une bouche d'aération du métro. Elle psalmodiait une sorte de mélopée triste... Autour
d'elle, son bric-à-brac de SDF fait de cartons, sacs plastique, lambeaux de couvertures... Il faisait un vent glacial et une température de deux degrés. Je songeais à ses rêves d'occident, à
ses illusions perdues, à son destin qui l'avait menée jusque-là, jusqu'à cette grille absurde sur un trottoir de Paris... C'est sans doute aussi cela, la mondialisation.
20 janvier. Facile : le chameau blatère, l'homme déblatère.
9 février. Il était une fois un homme avec une si petite bite qu'on l'avait appelé Virgule.
22 février. En grand uniforme noir et blanc, la pie arpente la cour de son pas de majordome. Elle veille à ce que chaque chose soit à sa place ; elle ne supporte pas le
désordre.
4 mars.Voyage à F... Aucune poésie, mais du sordide, du brutal. Après, il ne reste plus que la honte de soi-même, la honte de s'être livré à cette transaction sordide. La
femme était laide, d'une immense tristesse rance... Et pourtant, il y avait ce ventre envahi d'une pilosité clairsemée, cette crevasse humide et chaude, grande ouverte. J'étais venu pour ça...
D'une certaine façon, on peut dire que j'en ai eu pour mon argent. Qu'est-ce que j'étais allé m'imaginer : de la beauté, du fantasme devenu réalité, du glamour ?
4 mai. Séance de pose pour des photos X. Elle est très mouillée. Sexe gonflé de désir... Sublime.
16 mai. Pique-nique entre presque inconnus. Parmi tous, il y a un couple : lui travaille dans la finance, elle est femme au foyer. Lui français pur jus, elle
maghrébine, la quarantaine, brune, bien taillée. Une poitrine généreuse, un cul sublime à en juger par les rondeurs de son jean... Et grande avec ça ! Côté face, ce grand triangle à la très large
base inversée... Non pas triangle, plutôt trapèze. Je devine tout : le moelleux du pubis, la fourrure abondante dont je traque les indices sur ses tempes, sur sa nuque découverte... Je regarde
ses lèvres pour voir sa bouche secrète, son nez pour deviner la grosseur de son bouton nacré... Elle respire la fente épaisse, la vulve juteuse, la chatte velue... Il paraît qu'elle
s'appelle B* Ah ! Si j'avais le temps, si j'osais, j'y mettrais tout mon courage et mon ardeur n'aurait plus de fin...
29 mai. Gala bisannuel de danse. Tous ces ventres plats, ces seins juvéniles, ces corps écartelés, ces déhanchements lascifs, ces poses provocantes. Par centaines, jusqu'à
l'écoeurement visuel.
29 juin.Il y a sur Internet des merveilles pileuses. J'en reviens toujours, et parfois malgré moi, à ce fantasme pileux qui occupe de plus en plus de place dans ma vie.
Il faudrait d'abord inventer des mots nouveaux pour ces chattes, ventres et entrefesses velus : ne pourraient-ils pas être touffeteux ou touffelus ? Les amateurs pourraient
se regrouper en association, avec des statuts, un président, un secrétaire, un trésorier, et une revue... Tout cela doit bien exister ?
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