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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
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Charles Bukowski.( 1920-1994) Contes de la Folie Ordinaire. Recueil de nouvelles datées de 1967-1972. Première
parution en France en 1977 aux éditions le Sagittaire, puis en 1981 chez Grasset. Edition livre de Poche, 1988.
La machine à baiser
Le narrateur se rend avec son pote Mike l’Indien chez un certain Von Brashlitz ( ancien nazi) qui a mis au point une machine à baiser tout à fait originale.
« Et voilà le vieux cochon, avec son verre de schnaps à la main et ses lunettes à double foyer, on se croirait dans un vieux Fritz Lang. Il y a déjà quelqu’un, une petite nana, trop jeune à mon goût, l’air filiforme et costaud à la fois.
Elle croise les jambes en envoyant toute la gomme : genoux en nylon, cuisses en nylon, et ce petit coin où les bas se terminent en laissant voir un bout de peau. Elle est toute cul et seins, jambes en nylon, yeux bleus porcelaine qui pétillent…
- Messieurs, ma fille Tania… (… ) Je suis un artiste, un inventeur ! la MACHINE A BAISER existe, c’est ma fille, Tania… Tania, viens t’asseoir sur les genoux du monsieur !
Tania se lève en riant et saute sur mes genoux. Ça une MACHINE A BAISER ? je n’arrive pas à y croire ! Sa peau est en peau, en tout cas ça y ressemble, et sa langue se promène dans ma bouche, elle n’est pas mécanique, chacun de ses mouvements répond aux miens, unique.
Me voilà très occupé, j’arrache sa blouse, je m’infiltre du côté de sa petite culotte, plus excité que jamais, et là nous perdons les pédales ; on se lève et je la prends debout, les mains pendues à ses longs cheveux blonds, je lui tire la tête en arrière puis je me penche pour lui ouvrir le cul, sans arrêter de ramoner, elle jouit, je la sens vibrer et je la rejoins là-haut.
C’est le meilleur coup de ma vie ! »
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