Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
MOI. Non, je croirais plutôt qu’un homme est passé, qu’il a délicatement décollé la mèche de l’écran, en prenant soin de ne perdre aucun poil. Après, il l’a reniflée et l’a rangée dans son portefeuille, juste à côté d’un trèfle à quatre feuilles desséché et d’une image de Saint Christophe. Ça lui fera un bon gri-gri pour éloigner l’ennui et sa peur de vieillir.
Sais-tu que quelques semaines après notre projection privée, j’ai acheté une vidéo porno qui s’appelait Jumping Jackie ?
Deux heures de confessions érotiques en couleurs et soupirs. Du pur bonheur. Alors, j’ai pensé que nous aurions pu en tourner une version française, quelque chose qui aurait eu pour titre
Insatiable Corie ou Corie de A à Z, enfin surtout Corie à la lettre X. J’imaginais une vingtaine de séquences, l’abécédaire de Corie : aguicher, baiser, caresser,
déshabiller, enculer, foutre, goder, haleter, initier, jouir, lécher, masturber, niquer, orgasmer, peloter, queuter, ruisseler, sucer, trousser, uriner, ventouser, zober… Dommage qu’il manque des
lettres !
ELLE. Après ton accident, tu es resté cloué sur un lit avec les deux bras et une cheville dans le plâtre. Ça a duré un mois entier. À l’hôpital, c’était moi, en tenue blanche d’infirmière, qui venais te faire ta toilette matinale. C’était arrivé très loin de chez toi et ta femme m’avait fait comprendre au téléphone qu’elle n’avait pas le temps de s’occuper de toi : elle aimait trop sa liberté. Les médicaments et la chaleur excessive te maintenaient dans un demi-sommeil comateux… Ou peut-être faisais-tu semblant de ne pas me reconnaître. Souvent, je profitais de la situation pour te branler et te sucer la bite. Tu ne disais rien.
Et puis, un jour où tu avais le regard presque lucide, je t’ai fait une petite injection dans la verge. Tu as dû sentir une vague de chaleur t’inonder le membre, les couilles et tout le reste. J’ai déboutonné ma blouse sous laquelle j’étais nue, intégralement. Je t’ai montré mes seins, mon ventre, ma touffe fendue de désir. Voilà ta bite qui prend des dimensions jusque-là ignorées. Tu te retrouves avec une érection phénoménale, bandé comme un ressort de jouet tendu à tout rompre. J’ai grimpé sur le lit, je me suis ouverte au-dessus de toi, un genou de part et d’autre de ton corps immobile, et je me suis seringué ta bite directement dans le cul. D’où tu étais, tu pouvais tout voir, surtout ma vulve béante, huileuse. Je suis sûre que tu mourais d’envie d’y glisser les doigts, mais tu étais prisonnier de ta gangue de plâtre. Un vrai supplice de Tantale. Tout ce que tu pouvais faire, c’était te cambrer pour me la mettre au plus profond.
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