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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Pendant des années, je me suis totalement désintéressé du genre manga, et donc aussi du hentaï ( la manga érotique
) dont j'ignorais même l'existence. C'est par hasard que j'ai découvert ces BD. Au début, je les trouvais naïves, voire puériles.
Et puis, un jour, j'ai lu une première BD hentaï, avec une sensation de malaise difficile à définir. Ce n'est que récemment que j'ai compris ce qui me troublait tant dans ces dessins : la
contradiction entred'un côté le visage des jeunes filles ( toujours très jeunes), visage qui exprime toujours une indicible tristesse, voire douleur de vivre, et de l'autre, à l'opposé, leur
sexe béant qui suinte - que dis-je, qui coule - de désir. Les vulves et les clitoris sont hypertrophiés, les muqueuses intimes ruisselantes de mouillure. Et cette bouche qui dit non et ce ventre
qui dit oui... Voilà tout le charme du hentaï. Charme auquel il faut ajouter la représentation des poils pubiens, ce qui est pour les Japonais d'une incroyable obscénité... Voici donc une
première série de 7 vignettes tirées du n°1 d'une revue qui s'appelait "Pur Hentaï", parue en 2003 en France ( l'identité des illustrateurs n'était pas
mentionnée dans la revue )
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