Pour tout envoi de document ( photo, dessin, vidéo ou texte), pour toute demande de renseignement complémentaire ou pour information plus confidentielle, une seule adresse : mkoppera@orange.fr
Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour les hideux encarts publicitaires qui "fleurissent" sur les pages du blog. Croyez bien que j'en suis désolé mais ils me sont imposés par l'administration d'Erog
Printemps 1974, numéro 23 de ZOOM. Pas grand-chose au niveau des portfolios,
mais de petites trouvailles dans la rubrique "60 jours d'images".
Commençons par la sortie d'un ouvrage " Manuel secret des Confesseurs" (1827) illustré par Hans BELLMER. Cet ouvrage parut aux Editions Art et
Valeur ( valeur qu'il a dû prendre depuis ! )
Continuons avec une illustration de Jean Martin-Bontoux pour un roman de S.F
Puis une exposition d'oeuvres signées Georges BRU à la Galerie Jean Camion ( Paris 6ème) . J'ai déjà présenté une oeuvre de Georges Bru dans ce blog ( illustration pour
l'aricle consacré au roman de Malaparte : "La Peau" )
Suivait un long article à l'occasion de la sortie du film de "Alain Robbe-Grillet "Glissements progressifs du plaisir". Voici 3 photos du film ainsi qu'un
extrait de l'interview de Robbe-Grillet parlant de son film :
« Une très jolie jeune fille a le goût du sang ; elle est fascinée par des images de sang répandu : sang du crime, sang du cycle féminin, sang de la défloration. Elle est accusée d’un meurtre (qui ressemble à une mise en scène décorative) et, sous prétexte de se défendre, elle se met à raconter des histoires à transformations, constituant tout un réseau de jeux cruels, d’accidents fatals, de blessures subtiles, de morsures, où se perdent l’un après l’autre ses interlocuteurs : un magistrat, une jeune avocate, un pasteur, une religieuse. Pour parachever sa composition, elle finit, bien entendu, par commettre le crime dont on l’accusait. Un film de vampire, en quelque sorte, ou son envers »
Les photos sont de Catherine Robbe-Grillet, l’épouse du réalisateur
Plus loin, une photographie de Amanda LEAR réalisée par Karl STOECKER, artiste américain né à Washington en 1944.
Enfin, côté BD, une image du jeune Tarzan imaginé par Burne HOGARTH. la vision qu'il propose ne correspond pas du tout à l'imagerie habituelle du héros. Le voici
androgyne, dans une posture plus qu'équivoque...