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"Ball-trap" # 4/9
Ce n'est qu'à ce moment que j'ai vraiment compris le piège qui venait de se refermer sur moi. Il était largement plus de six heures du soir : le soleil de juin était encore haut et la chaleur intense, et pourtant j'ai senti un frisson glacé me courir sur la peau. J'ai pris un air éploré, suppliant, dans l'espoir de les attendrir. D'une voix mielleuse mais pleine de menaces, l'Ardennais mit fin à mes dernières illusions :
- Arrêtez de pleurnicher comme une gamine... Ma chère, il ne tient qu'à vous que tout ce matériel soit inutile... Mais, si vous vous avisez de crier pour demander de l'aide, on n'hésitera pas à vous bâillonner, ou si l'envie vous prenait de nous fausser compagnie, on serait au regret de vous ficeler comme une grosse dinde de Thanksgiving, bridée et prête à cuire.
La comparaison leur plut et ils ne purent s'empêcher d'en rire méchamment.
Je me souviens avoir pensé que puisqu'il me faudrait y passer, le plus vite serait un moindre mal, mais c'était sans compter sur la perversité du trio infernal qui me tenait sous sa coupe.
Sans ménagement, les deux hommes m'ont encadrée et, me saisissant par les bras m'ont assise de force sur la table, les pieds reposant sur le banc. Sans me lâcher, ils ont pris place à mes côtés, Daniel F* à ma gauche, l'Ardennais à ma droite. Sa garce de femme n'avait plus qu'à venir se planter devant moi, debout entre mes genoux qu'elle a écartés des deux mains, sans oublier de m'enfoncer ses ongles vernis dans le gras de ma chair nue.
- Ouvre tes jambes, grosse salope, qu'on vérifie si t'es propre !
Elle a soulevé ma jupe et s'est penchée entre mes cuisses pour me renifler le ventre.
- Elle sent bon, la cochonne ! Dis, c'est pour ton beau-frère que tu t'étais parfumé la chatte ? T'aurais bien aimé qu'il t'enfile, pas vrai ? Dis pas le contraire ! T'as même mis une culotte blanche toute neuve pour l'exciter !
Elle a posé la paume de sa main directement sur mon bas-ventre et à commencé à me masser la fente. Elle savait y faire... Les deux autres, la tête penchée en avant, n'en perdaient pas une miette. J'ai fermé les yeux. J'étais morte de honte : me faire caresser par une femme en compagnie de deux inconnus sans pitié ! Cependant, à force de me malaxer la vulve, elle a fini par me réveiller le clito et, malgré moi, je me suis sentie inondée de l'intérieur. Pourvu que ça ne déborde pas !
- Non, mais j'y crois pas ! Vous voyez ce que je vois ? Elle mouille, la garce. Ça traverse sa petite culotte de coton...
Et tout en parlant, elle n'en finissait pas de me masser la fente à travers le tissu humide. Puis chacun leur tour, les deux hommes sont venus y poser leurs grosses paluches aux doigts épais et maladroits.
Pendant qu'ils me tripotaient l'entrejambe, Marianne avait commencé à déboutonner ma robe sur le devant pour glisser ses mains sur mes seins qu'elle a saisis à pleine paume. Malgré moi, j'avais les mamelons tout durs et les aréoles grenues. Quand elle l'a senti sous ses doigts, à travers le tissu, elle ne put cacher sa joie mauvaise :
- Messieurs, je crois qu'on a décroché le gros lot ! Non seulement elle a de grosses loches de nourrice mais je parie qu'en plus elle jouit des tétons !
Avec adresse, elle a passé une main dans mon dos et dégrafé mon soutien-gorge, libérant d'un seul coup ma poitrine qui s'est lourdement épanouie devant ses yeux ravis. Elle en goba un et se mit à le téter goulûment. Le regard dans le lointain, je m'efforçais d'oublier les doigts des hommes entre mes cuisses ouvertes, la bouche gourmande de Marianne ventousée à mon sein, cherchant à n'entendre que le chant des oiseaux et la brise dans les feuillages... Je pleurais intérieurement, de tout mon corps sans défense.
à suivre...
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