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"Black, blanc, beur", chapitre 3
Je n'eus même pas le temps de me remettre de ma surprise que je sentis une main empaumer mon genou nu sous la table. Instinctivement, j'ai écarté les jambes et, aussitôt la main de Kevin a remonté ma cuisse jusqu'à ma petite culotte. Ses doigts ont commencé à me masser la fente à travers le coton. J'ai fermé les yeux. Une vague de chaleur a grossi dans mon ventre, délicieuse sensation que j'avais oubliée depuis longtemps. Je suis restée comme ça de longues minutes, à caresser la poitrine juvénile d'Amina, à me faire masser la chatte par la main chaude de Kevin. Amina a rompu la charme
- Il faut que j'aille aux toilettes, dit-elle tout bas. Vous n'avez pas envie ?
Repoussant à regret la main baladeuse de Kevin, j'ai comme une automate emboîté le pas d'Amina. En passant devant le bar, elle a glissé quelques mots au serveur qui lui a répondu d'un simple hochement de tête. Les toilettes étaient au sous-sol, au pied d'un escalier en spirale. À peine franchie la porte des toilettes pour femmes, Amina m'a enlacée et poussée vers les lavabos.
- Et si quelqu'un venait ? dis-je en la repoussant mollement.
- Il ne viendra personne. Personne, je vous le garantis. Laissez-moi faire !
Je ne sais pas pourquoi, mais je l'ai crue et je me suis abandonnée. Moi adossée au mur de faïence, elle à genoux sur le carrelage, elle a glissé ses mains sous ma robe, baissé ma culotte jusqu'aux chevilles, écarté mes cuisses et collé ses lèvres contre ma fente. J'étais morte de honte et pourtant incapable de résister au désir de me faire lécher. Sa langue souple fouillait mon vagin, me titillait avec adresse le clitoris. Je me sentais dégoulinante de mouillure pendant que ses mains me pelotaient les fesses.
Perdant tout contrôle, j'ai posé les mains sur sa tête, enfoui mes doigts dans son épaisse chevelure pour mieux ventouser ses lèvres à mon sexe en chaleur et j'ai joui une première fois. Elle s'est remise debout, m'a embrassée à pleine bouche, mêlant ma mouillure intime à nos salives. Mon dieu, que c'était bon ! Jamais je n'aurais qu'un jour j'aurais du plaisir avec une femme...
- À toi, maintenant ! souffla-t-elle en s'écartant pour s'asseoir au bord du lavabo, les jambes pendantes, les cuisses ouvertes.
Sa petite jupe noire retroussée jusqu'aux hanches, elle me montrait sa culotte blanche qui épousait l'arrondi de son mont de Vénus. Le cœur battant, je me suis agenouillée sur le carrelage, le visage au plus près de son ventre pour respirer les senteurs de sa jeunesse. Elle avait la peau incroyablement douce, comme satinée. Elle a soulevé les fesses pour m'aider à lui ôter sa petite culotte. Oh, mon dieu ! Quelle fente merveilleuse ! Ça m'a rappelé le sexe de ma fille quand je lui donnais son bain : un abricot bien mûr, lisse et parfumé. J'y ai posé mes doigts , il était tout moite et huileux. J'y ai posé ma bouche pour laper sa mouillure comme une chienne. Elle a soupiré, a projeté son ventre à la rencontre de ma bouche comme pour m'embrasser avec sa vulve.
Je n'ai pas été vraiment surprise d'entendre s'ouvrir la porte des toilettes derrière moi puis la voix de Kevin.
- Alors, les filles, on nous laisse tomber ! On commençait à s'inquiéter...
à suivre...
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