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"Black, blanc, beur", chapitre 8
Kevin m'a poussé un peu dans le dos pour me forcer à entrer. Un petit appartement aux murs défraîchis et crasseux, un salon avec juste un grand canapé recouvert d'un tissu très coloré dans le genre africain, une table basse où étaient posées des cannettes de bière, une télé à écran plat dans un coin. Sur le canapé était assis un grand black d'une trentaine d'années dont le visage m'a vaguement dit quelque chose.
- Je vous présente Touré, a annoncé Slimane. C'est lui qui vous a filmée hier...
Pour confirmer ses dires, Touré a sorti mon portable de sa poche et l'a posé sur la table basse. Je n'ai même pas esquissé un geste pour m'en saisir et pourtant ce n'était pas l'envie qui me manquait. Mais je savais que je n'étais pas venue que pour ça, qu'ils attendaient autre chose... Slimane et Kevin sont venus rejoindre Touré sur le canapé, me laissant seule debout au milieu du salon.
Je ne quittais pas Touré des yeux, comme hypnotisée par sa bouche aux lèvres épaisses, une bouche dont je ne pouvais m'empêcher de penser que je désirais qu'elle se ventouse à mon ventre pour me sucer la fente et s'abreuver de mon jus intime.
- Montrez-nous ce que vous portez là-dessous ! a ordonné Slimane d'une voix posée mais qui ne souffrait aucune rébellion.
J'ai commencé par ôter mon caraco puis, dégrafant ma jupe, je l'ai laissée glisser le long de mes cuisses et tomber à mes pieds. J'étais maintenant debout devant eux en lingerie et escarpins. Mes seins aux mamelons pointus débordaient avec générosité du soutien-gorge à balconnet et je sentais mes muqueuses vaginales suintantes de mouillure visqueuse.
- Vous êtes vraiment une belle salope, a commenté Touré en débouclant son ceinturon pour ouvrir la braguette de son jean.
Sans me quitter du regard, les deux autres l'ont imité.
- Maintenant, caresse-toi ! a poursuivi Touré.
Toujours debout, je me suis peloté d'une main le bout des seins durcis par le désir pendant que de l'autre je me caressais le ventre, pressant mes doigts dans ma fente que je sentais toute moite à travers le tissu presque transparent de mon string.
- Tu mouilles ? a demandé Slimane.
- Oui...
- Tu connais la règle de trois ?
- Bien sûr, quelle question ! C'est de la proportionnalité !
Il a rigolé.
- Je te parle pas des maths, mais de la règle des trois trous : ta bouche, ta moule, ton cul ! Tu comprends ?
Ils avaient ouvert leurs braguettes et sorti leurs bites déjà bandantes. Celle de Kevin était bien droite et massive, celle de Slimane très longue et fine avec un gland luisant, mais la plus belle c'était sans conteste celle de Touré : une énorme bite noire couronnée par un gros gland plus clair, une bite majestueuse et puissante dont la simple vue suffit à m'inonder le ventre.
- Trois bites pour tes trois trous, poursuivit Slimane en ôtant son jean. On te laisse le choix de l'organisation.
à suivre...
Dépuceleur anal de blanchettes
Ma femme n'a pas le choix, ils la visitent régulièrement avec ce genre d'engins, sinon c'est sa fille qui va déguster, elle doit tout faire, vaginal, anal et gorges profondes bien crades