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Je vous propose également, à partir de vos photos inédites et de vos suggestions, de vous écrire un texte original et personnalisé (4 à 5 pages) qui réponde à vos fantasmes les plus secrets. Voir adresse mail ci-dessus.
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Bourrages, dernière partie
À l’approche de Noël, Patricia m’annonça que, comme chaque année, son mari allait bientôt revenir pour passer les fêtes en famille. On ne se verrait plus pendant plusieurs semaines, aussi me demanda-t-elle gentiment de poser en érection afin de prendre quelques clichés de mon anatomie.
- Comme ça, Michel, quand je serai triste, je pourrai me branler en regardant ta bite et ton cul.
Je me prêtai de bonne grâce à son désir, d’autant plus que ce fut l’occasion d’inaugurer des positions inédites et saugrenues…
Noël passa, puis le jour de l’an et l’Epiphanie. Pas de nouvelles de Patricia. La SIPPA n’avait besoin d’aucune visite de technicien. J’attendis ainsi tout janvier, puis février… Aucun message sur mon portable, aucun courrier, rien du tout ! Je n’allais tout de même pas monter sonner à sa porte !
Et puis, un jour de printemps, par le plus grand des hasards, dans la rue, je croisai Sandrine qui promenait sa chienne cocker. Moi qui d’habitude ne prête que peu d’intérêt à la gent canine, je caressai la bête avec tendresse, la laissant même me lécher la main.
- C’est une très belle chienne que tu as là, et douce avec ça ! Comment s’appelle-t-elle ?
- Fidèle ! dit Sandrine, les joues roses de fierté naïve.
- À propos de fidélité, continuai-je, je n’ai plus de nouvelles de Patricia depuis un bon bout de temps… Elle devait m’appeler… Je pense que son mari est reparti maintenant… Je ne comprends pas…
- Son mari ! Quel mari ? À ma connaissance, Patricia n’a jamais été mariée !
Elle paraissait sincère. Alors, je lui racontai ce que Patricia m’avait confié : le mari en Guyane, le fils étudiant à Paris, l’allergie au soleil… Sandrine me sourit malicieusement.
- Mon pauvre Michel, tu n’es pas le premier à te laisser prendre. Tout cela n’était qu’un jeu. Tu dois bien te rendre compte que ce que tu as vécu avec elle ou avec moi ne correspond pas à la vraie vie. Comme toutes tes histoires de femmes nymphomanes, de couples adultères, de fantasmagories sexuelles qui ne sont que des rêves éveillés.
Peut-être, mais sans rêves, la vie serait si triste !
© Michel Koppera, janvier 2010
Merci Michel