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Casting ( 3ème partie )
Pendant de longues minutes, il ne se passe rien, jusqu’à ce que lui parviennent, assourdies par ses cheveux, les bribes d’une conversation. Sans doute le photographe qui échange quelques mots avec son mari. Puis des pas qui se rapprochent et, de nouveau, un silence lourd de menace.
La gifle fulgurante qui s’abat sèchement sur sa croupe lui plante sa flèche venimeuse au bas des reins. La douleur la transperce de part en part, lui coupe le souffle, paralyse son cœur, lui incendie les fesses qu’elle s’empresse d’ouvrir d’une main disciplinée.
Elle ne peut plus lui échapper. En un seul geste, il a fait d’elle sa chose, son objet. Pourtant, ça commence plutôt bien, par de longues et patientes caresses sur sa croupe. Il a la main chaude, douce, presque affectueuse. En plus, il sait s’y prendre, le salaud ! Il a tout de suite repéré l’endroit sensible, juste au creux des reins, à la rencontre du dos et du fessier, là où s’amorce la raie du cul. Il prend son temps, y laisse traîner ses doigts qui insensiblement, en spirales de plus en plus précises, descendent vers l’anus. Quand il atteint enfin la muqueuse humide, elle gémit faiblement. Mon dieu, que c’est bon !
Il ne peut plus ignorer l’infâme mouillure qui englue son périnée, exhale son envie d’être enculée. Espérant encore masquer son impatience, elle s’efforce de penser à autre chose, comme par exemple à ce qu’elle va préparer pour le dîner familial : une salade de tomates mozzarella, des côtes d’agneau grillées accompagnées d’un gratin de courgettes… Une belle courgette qu’elle va couper en rondelles après avoir joui en se l’étant enfilée dans le cul ! Malgré elle, ses pensées reviennent à ça ! Surtout que maintenant, il a un doigt sur le diaphragme de son anus étoilé. Longuement, il le presse, le palpe, le masse, le pétrit du gras du pouce et, brusquement, sans ménagement, d’une poussée énergique, force l’entrée et l’enfonce jusqu’à la racine. Sa croupe va à la rencontre de ce doigt inquisiteur, l’aspire, le tète… Elle en veut davantage…
© Michel Koppera, janvier 2010
à suivre...
un objet vivant et vibrant sous les gifles, alibis de mon acceptation à recevoir ces doigts dans mon cul...